méthodes pédagogiques numériques

Méthodes pédagogiques numériques : quelles tendances en 2025 ?

La formation numérique connaît actuellement une transformation majeure, passant des premiers cours vidéo accessibles librement à des approches interactives et immersives centrées sur l’apprenant. Cette évolution s’explique par l’intégration progressive de nouvelles technologies et l’amélioration des méthodes pédagogiques. (Histoire du e-learning)

  1. De la formation en ligne à l’apprentissage expérientiel

Historiquement, la formation numérique se limitait principalement à des cours vidéo en ligne accessibles gratuitement, souvent peu engageants. Cette approche a rapidement montré ses limites avec des apprenants passifs, un faible engagement et un fort taux d’abandon (Blended Learning et Apprentissage Mixte).

Aujourd’hui, de nouvelles approches interactives et immersives comme l’apprentissage expérientiel, les jeux pédagogiques et les simulations émergent pour contrer ces difficultés. MEDIAplus, notamment, optimise les compétences bureautiques grâce à une expérience pratique et immersive adaptée au quotidien professionnel (Découvrir MEDIAplus).

2. Interaction et engagement au cœur de l’apprentissage

L’interaction, notamment via l’apprentissage actif, renforce l’ancrage durable des connaissances par opposition aux méthodes traditionnelles passives. Les formats interactifs tels que les vidéos interactives, questionnaires adaptatifs et plateformes collaboratives améliorent la motivation et réduisent significativement les abandons. Des évaluations adaptatives comme celles proposées par MEDIAplus ajustent les parcours aux performances des apprenants (test de positionnement).

Le jeu pédagogique prend également une place grandissante dans l’apprentissage numérique. Cette approche permet une meilleure assimilation des connaissances grâce à des mécaniques ludiques engageantes. Lisez ici sur la place de la pédagogie par le jeu en 2024.

3. Les technologies immersives et hybrides

Les technologies telles que la réalité virtuelle et la réalité augmentée révolutionnent l’apprentissage en offrant des expériences réalistes et immersives, permettant ainsi un gain significatif en efficacité pédagogique et en temps d’apprentissage. Ces technologies facilitent la création de parcours hybrides combinant présentiel et numérique, comme le Blended Learning.

  1. L’engagement actif et rétention des connaissances

L’apprentissage actif, accompagné de barres de progrès permettant un suivi précis des avancées, améliore considérablement la rétention des informations. Selon diverses études, l’engagement actif augmente la rétention des connaissances jusqu’à 75% par rapport aux approches passives traditionnelles (Pyramide d’apprentissage).

2. Expériences interactives et compréhension

Les méthodes immersives telles que les études de cas interactives, mises en situation professionnelles ou simulations permettent une meilleure compréhension et une assimilation profonde en réduisant le fossé théorie-pratique. Contrairement aux approches théoriques, ces méthodes assurent une meilleure autonomie décisionnelle.

3. Adaptation aux réalités professionnelles

Les entreprises et établissements académiques utilisent ces méthodes pour mieux répondre à leurs besoins spécifiques. Le groupe ENI se distingue par une approche pédagogique innovante, confirmée par les témoignages d’institutions telles que l’ICRC.

  1. Mises en situation réalistes

MEDIAplus propose des scénarios réalistes qui peuvent convenir aux profils dans différents secteurs tels que la santé, l’ingénierie, la gestion de projet et le management.

2. Prise de décision et autonomie renforcées

Ces formations interactives placent les apprenants face à des scénarios où ils doivent prendre des décisions, renforçant ainsi leurs compétences clés telles que le leadership, la communication et la résolution de problèmes.

3. Montée en compétences et certification

Les évaluations adaptatives facilitent l’acquisition et la validation des compétences, tout en améliorant la motivation grâce à l’intégration des badges numériques et des certifications reconnues. Des partenariats comme celui avec COLLECTO renforcent cette offre. La Bibliothèque Numérique ENI enrichit ces parcours par l’accès continu à une grande variété de ressources pédagogiques (livres, vidéos, webinaires, articles, balados), disponibles 24h/24 et 7j/7.

  1. Personnalisation et optimisation des apprentissages

L’intelligence Artificielle Générative (IAGen ) est désormais omniprésente dans le quotidien par exemple avec ChatGPT et Microsoft Copilot. Des formations sont disponibles et permettent de continuer à se former et de suivre ces tendances.

L’IA devient un véritable acteur pédagogique, facilitant la personnalisation et le suivi de la progression des apprenants (L’intelligence artificielle comme nouvel acteur majeur de la pédagogie). Certains exercices pratiques sont guidés par l’IA.

2. Parcours pédagogiques adaptatifs

Les algorithmes d’apprentissage adaptatif assurent des parcours entièrement personnalisés selon les performances individuelles, contrastant avec les modèles standardisés. Cette approche est illustrée par l’intégration de l’IA générative dans Microsoft 365.

3. Assistants pédagogiques intelligents

MEDIAplus propose des assistants virtuels intelligents qui apportent des réponses immédiates et personnalisées aux apprenants, améliorant significativement l’expérience utilisateur (Découvrir MEDIAplus).

La convergence entre les méthodes immersives, interactives et l’intelligence artificielle représente une véritable révolution pédagogique. Ces technologies, en permettant une formation plus rapide, efficace et adaptée, offrent aux entreprises et institutions académiques des outils essentiels pour rester compétitives dans un environnement international en constante évolution.

Pour en savoir plus sur MEDIAplus contactez :

Lucile CATTELIN | Business Developer Grands Comptes et Secteur Public

lcattelin@eni.fr | +33 (0)2 51 80 27 40  | +33 (0)6 07 31 75 58

Les outils de formation

Les outils pour mesurer l’efficacité des formations : Analytics et KPIs

Dans un monde où l’investissement dans le développement des compétences est stratégique, il devient essentiel de mesurer l’efficacité des formations. Grâce aux outils d’analytics et aux indicateurs clés de performance (KPIs), les entreprises peuvent enfin évaluer précisément la valeur de leurs dispositifs pédagogiques.

Découvrons ensemble les outils de formation indispensables pour optimiser l’impact des programmes de montée en compétences.

Pourquoi mesurer l’efficacité des formations est indispensable ?

Investir dans des dispositifs de formation sans mesurer leur efficacité revient à piloter à l’aveugle. En évaluant les formations, les entreprises peuvent :

  • 1. Identifier les programmes les plus performants,
  • 2. Ajuster le contenu aux besoins réels des apprenants,
  • 3. Justifier les budgets investis,
  • 4. Démontrer un retour sur investissement (ROI) clair.

L’utilisation d’outils d’analytics adaptés permet de transformer des données brutes en informations stratégiques.

Les outils de formation : focus sur les analytics

Les plateformes LMS (Learning Management System) modernes intègrent de puissants outils d’analytics pour suivre en temps réel :

  1. Le taux de participation
  2. La durée moyenne de connexion
  3. Le taux de complétion des modules
  4. Les scores aux évaluations

Certains outils de formation, comme ceux mentionnés par Toucan Toco, proposent des dashboards visuels pour interpréter rapidement les performances globales ou individuelles. Ces solutions permettent également de segmenter les résultats selon les profils des apprenants, les thématiques ou les modalités pédagogiques (présentiel, e-learning, blended learning).

Les KPIs indispensables pour mesurer la performance des formations

Les KPIs (Key Performance Indicators) sont les piliers de toute stratégie d’évaluation de la formation. Selon Callimedia et Val Software, les principaux indicateurs à surveiller sont :

  • 👍 Taux de satisfaction : recueilli via des questionnaires post-formation.
  • 🎯 Taux de complétion : mesure l’engagement jusqu’à la fin du parcours.
  • 💡 Amélioration des compétences : évaluée par des pré-tests et post-tests.
  • 👔 Application sur le terrain : mesure la capacité des collaborateurs à transférer les compétences acquises dans leur travail quotidien.
  • 💯 Retour sur investissement (ROI) : calcule l’impact financier direct ou indirect de la formation.

Le modèle de Kirkpatrick, largement utilisé, propose d’évaluer les formations sur quatre niveaux : satisfaction, acquisition des connaissances, changement de comportement et résultats opérationnels.

Les outils de formation pour automatiser l’évaluation

Pour garantir une mesure précise et continue, plusieurs types d’outils de formation existent :

  • Enquêtes et formulaires dynamiques : pour récolter du feedback instantané,
  • Tests et quiz adaptatifs : pour évaluer la montée en compétences en temps réel,
  • Systèmes de scoring : pour analyser les parcours et détecter les points d’amélioration,
  • Dashboards d’analyse prédictive : pour anticiper l’impact à long terme des actions de formation.

Ces solutions permettent de transformer la collecte de données en véritable levier d’amélioration continue.

Comment choisir les bons outils de formation pour votre entreprise ?

Le choix des outils de formation dépendra de plusieurs facteurs :

  • La taille de l’entreprise,
  • Le nombre d’apprenants,
  • Les objectifs pédagogiques,
  • Les ressources humaines et techniques disponibles.

Il est important de privilégier des outils capables de s’intégrer facilement à vos systèmes existants et de proposer une expérience utilisateur fluide pour maximiser l’adhésion des collaborateurs.


Conclusion : La digitalisation offre aujourd’hui des outils de formation performants pour mesurer efficacement l’impact des dispositifs pédagogiques. Grâce aux analytics et aux KPIs, les entreprises peuvent désormais piloter leur stratégie de formation avec précision, ajuster leurs programmes et maximiser leur retour sur investissement.

Ne laissez plus vos projets de formation sans boussole : mesurez, analysez et optimisez !

Chatbots et IA dans la formation

Chatbots et IA dans la formation : Gadgets ou véritables outils d’apprentissage ?

À l’heure où l’intelligence artificielle (IA) transforme tous les secteurs, la formation n’échappe pas à la vague d’innovation. Chatbots et IA dans la formation suscitent autant d’enthousiasme que de scepticisme : sont-ils de simples gadgets technologiques ou de véritables leviers d’apprentissage ? Décryptons leur impact, leur potentiel et leurs limites.

Chatbots et IA dans la formation : une révolution pédagogique en marche

L’intégration de l’intelligence artificielle dans la formation répond à plusieurs enjeux majeurs : personnalisation des parcours, engagement accru des apprenants, analyse de données d’apprentissage en temps réel. Selon Formiris, l’IA permet de mieux accompagner les apprenants, en adaptant les contenus à leur rythme et à leur niveau, tout en soulageant les formateurs de tâches répétitives.

Les chatbots, quant à eux, incarnent une forme concrète d’IA facilement déployable dans les dispositifs de formation. Ils interviennent pour :

  • Répondre aux questions fréquentes,
  • Guider l’utilisateur dans son parcours,
  • Proposer des rappels personnalisés,
  • Favoriser une interaction continue, même en dehors des sessions synchrones.

Pourquoi les chatbots boostent l’engagement des apprenants en formation

Selon Edusign, l’utilisation de chatbots en formation améliore nettement l’engagement des apprenants. Ces outils permettent notamment :

  • D’offrir une assistance immédiate 24/7,
  • De réduire les temps d’attente pour obtenir des réponses,
  • De renforcer la motivation grâce à des interactions dynamiques et personnalisées.

Les chatbots créent ainsi une expérience d’apprentissage plus fluide et plus attrayante, contribuant à diminuer les taux d’abandon.

Chatbots et IA dans la formation

Chatbots et IA dans la formation : des limites à surveiller

Malgré leurs nombreux atouts, les chatbots et IA dans la formation présentent aussi des limites. D’après l’interview de Lucie Dhorne sur Management de la Formation, une méconnaissance des capacités réelles de l’IA peut générer des attentes irréalistes. Parmi les risques identifiés :

  • L’automatisation excessive au détriment de l’humain,
  • Les réponses génériques et parfois inexactes des chatbots,
  • Les biais algorithmiques,
  • La dépendance technologique, au détriment du développement de compétences critiques.

L’usage de l’IA en formation doit donc rester centré sur l’humain et s’inscrire dans une démarche pédagogique cohérente.
D’après un rapport de l’UNICEF, les chatbots dotés d’intelligence artificielle jouent un rôle croissant dans l’amélioration de l’accès à la formation, en proposant des solutions d’apprentissage flexibles et adaptées.

Les clés pour intégrer efficacement chatbots et IA dans la formation

Pour maximiser les bénéfices des chatbots et IA dans la formation, plusieurs bonnes pratiques sont recommandées :

  • Définir clairement les objectifs pédagogiques avant d’intégrer un chatbot,
  • Former les équipes pédagogiques à l’utilisation et aux limites de l’IA,
  • Surveiller et ajuster en continu les réponses fournies par les outils,
  • Maintenir une part d’interaction humaine pour garantir la qualité de l’accompagnement.

Comme le souligne Callimedia, l’IA et les chatbots ne remplacent pas les formateurs : ils les épaulent pour offrir une expérience d’apprentissage plus riche, plus personnalisée et plus accessible.


Conclusion : Chatbots et IA dans la formation ne sont ni de simples gadgets ni des solutions miracles. Utilisés intelligemment, ils deviennent de formidables outils d’apprentissage, capables d’amplifier l’impact des dispositifs pédagogiques. La clé du succès réside dans une intégration réfléchie, équilibrée et centrée sur l’humain.

gamification en formation

🎯 Gamification en formation : bonnes pratiques et erreurs à éviter

Concevoir une expérience gamifiée réussie dans le cadre d’une gamification en formation nécessite une approche stratégique et centrée sur l’utilisateur. En s’appuyant sur les meilleures pratiques et en évitant les erreurs courantes, il est possible de créer des expériences engageantes et efficaces.


❌ Erreurs courantes à éviter

1. Négliger la connaissance du public cible

Ignorer les préférences, les habitudes et les motivations des utilisateurs peut conduire à une expérience peu engageante. Une étude préalable du public permet d’adapter les mécaniques de jeu à ses attentes.

2. Sur-simplifier les contenus

Réduire excessivement la complexité des contenus pour les rendre plus ludiques peut nuire à la profondeur de l’apprentissage. Il est important de maintenir un équilibre entre accessibilité et richesse du contenu.

3. Se focaliser uniquement sur les récompenses extrinsèques

Miser exclusivement sur des récompenses externes (points, badges) peut éclipser la motivation intrinsèque des utilisateurs. Il est crucial de favoriser également la satisfaction personnelle et le sentiment de progression.

4. Ne pas équilibrer compétition et collaboration

Une compétition excessive peut engendrer du stress et décourager certains utilisateurs. Intégrer des éléments collaboratifs favorise un environnement plus inclusif et motivant.


✅ Bonnes pratiques pour une gamification réussie

1. Personnaliser l’expérience utilisateur

Utiliser des technologies comme l’intelligence artificielle permet d’adapter les défis et les parcours en fonction des réponses et du niveau de chaque utilisateur, rendant l’expérience plus pertinente et engageante.

2. Intégrer des feedbacks immédiats

Fournir des retours instantanés sur les actions des utilisateurs renforce leur engagement et leur permet de mesurer leur progression en temps réel.

3. Favoriser l’interaction sociale

Inclure des éléments tels que des classements ou des défis collectifs encourage l’interaction entre les utilisateurs, renforçant ainsi leur motivation et leur sentiment d’appartenance.

4. Évaluer et ajuster en continu

Recueillir régulièrement des retours utilisateurs et analyser les données d’utilisation permet d’identifier les points d’amélioration et d’ajuster les mécaniques de jeu en conséquence.


📊 Données clés sur l’impact de la gamification

  • Préférence des apprenants : 80 % des apprenants estiment que l’apprentissage serait plus productif s’il était davantage orienté vers le jeu. ​jobtaste.fr
  • Motivation en formation : Lors de formations gamifiées, 83 % des participants se sentent motivés, contre seulement 28 % pour des formations non gamifiées. ​inovapolis.fr

📌 Conclusion

La gamification en formation, lorsqu’elle est bien conçue, peut transformer l’apprentissage et l’engagement des utilisateurs. En adoptant une approche centrée sur le public cible, vous maximisez les chances de succès de votre stratégie pédagogique.

Séminaire d'intégration

Séminaire d’intégration : un levier stratégique pour réussir l’onboarding

L’arrivée d’un nouveau collaborateur est un moment décisif. Au-delà de la simple journée d’accueil, organiser un séminaire d’intégration offre une expérience plus immersive, engageante et bénéfique pour l’entreprise comme pour l’employé. Dans un contexte de forte mobilité et de quête de sens au travail, soigner l’onboarding devient un enjeu RH stratégique.

Pourquoi un séminaire d’intégration plutôt qu’une simple journée d’accueil ?

1. Créer un véritable sentiment d’appartenance

Le séminaire d’intégration permet une immersion complète dans la culture d’entreprise. Selon une étude de Glassdoor, les entreprises ayant un processus d’onboarding structuré améliorent la rétention des nouveaux employés de 82 % et la productivité de 70 %.

En organisant ce temps fort hors du cadre classique, on facilite les échanges humains, on casse les silos hiérarchiques, et on installe une relation de confiance dès les premiers jours.

2. Renforcer la cohésion grâce au team building

Les activités collaboratives typiques d’un séminaire favorisent la création de liens durables entre collaborateurs. D’après une étude menée par Gallup, les employés ayant au moins un “ami proche” au travail sont 7 fois plus engagés et donc moins susceptibles de quitter leur entreprise.

Le séminaire agit comme un catalyseur de cohésion, là où une simple journée d’accueil reste trop souvent descendante et théorique.

3. Gagner en efficacité opérationnelle

Un salarié bien intégré devient opérationnel plus rapidement. Une étude de Brandon Hall Group montre que les entreprises disposant d’un bon onboarding constatent une productivité supérieure de 54 % chez leurs nouvelles recrues.

En intégrant des ateliers métiers, des présentations d’outils ou encore des retours d’expériences, le séminaire d’intégration transforme l’accueil en véritable accélérateur de compétences.

4. Réduire le turnover dès la première année

Selon une étude de SHRM, jusqu’à 20 % des nouveaux collaborateurs quittent leur entreprise dans les 45 premiers jours si l’intégration est mal vécue. À l’inverse, un bon processus réduit significativement ce chiffre.

En choisissant un séminaire d’intégration immersif, les entreprises réduisent le risque de désengagement précoce et créent les conditions d’une fidélisation durable.

5. Valoriser sa marque employeur

Le séminaire d’intégration est aussi un outil de communication RH. Il reflète les valeurs de l’entreprise et démontre une volonté d’accompagnement réel. Or, selon une étude LinkedIn, 75 % des candidats se renseignent sur la culture d’entreprise avant d’accepter une offre. Un onboarding soigné est donc un avantage compétitif pour attirer les talents.


Conclusion

Un séminaire d’intégration ne se résume pas à un événement convivial. C’est un investissement stratégique à fort retour : meilleure rétention, collaborateurs plus engagés, montée en compétences accélérée, et image employeur renforcée. Face à ces enjeux, une simple journée d’accueil ne suffit plus.

Microlearning en entreprises

Microlearning en entreprise : formez mieux, plus vite

Face à la transformation rapide des métiers et des compétences, les organisations doivent adopter de nouvelles approches pédagogiques. Le microlearning en entreprise s’impose comme une solution agile, accessible et engageante. Grâce à ses formats courts et ciblés, il permet de renforcer efficacement les compétences, tout en respectant les contraintes opérationnelles des équipes.

Qu’est-ce que le microlearning en entreprise ?

Le microlearning, ou micro-apprentissage, est une méthode qui repose sur des séquences de formation très courtes (entre 3 et 10 minutes), focalisées sur une compétence précise. Dans un contexte professionnel, le microlearning en entreprise s’intègre facilement au quotidien des collaborateurs, via des supports variés : vidéos, quiz, podcasts, infographies ou scénarios interactifs.

Ce format est particulièrement adapté aux habitudes actuelles, où la surcharge d’information et la baisse de l’attention rendent les formations longues moins efficaces. D’ailleurs, selon Microsoft, la durée moyenne d’attention serait de 8 secondes.

Les bénéfices du microlearning en entreprise

1. Une efficacité prouvée

Le microlearning en entreprise favorise une meilleure rétention des connaissances. Une étude publiée dans le Journal of Applied Psychology montre qu’il améliore la mémorisation de 80 % par rapport aux formats classiques, notamment grâce à la répétition espacée.

2. Une formation plus rapide et moins intrusive

Grâce à son format court, le microlearning peut être intégré dans les temps « creux » du quotidien professionnel. Bpifrance indique qu’il permet de réduire de 50 % le temps nécessaire pour former une équipe, tout en évitant les longues sessions qui désorganisent les plannings.

3. Plus d’engagement grâce à la gamification

Le microlearning en entreprise inclut souvent des éléments de gamification : défis, scores, badges, storytelling… Cette approche ludique augmente significativement l’engagement. D’après 360Learning, les contenus gamifiés génèrent +130 % d’interactions. De plus, 85 % des utilisateurs accèdent aux formations depuis leur smartphone, rendant l’apprentissage mobile et spontané.

Microlearning en entreprise : des cas d’usage concrets

Ce format est particulièrement adapté à plusieurs enjeux organisationnels :

  • Onboarding rapide des nouveaux arrivants
  • Montée en compétences sur des sujets techniques ou transversaux
  • Formation réglementaire ou sécurité
  • Déploiement d’outils internes ou de process métier

Le microlearning est aussi de plus en plus présent dans l’enseignement supérieur, en complément de cours classiques ou au sein de parcours hybrides.

Pourquoi adopter le microlearning en entreprise aujourd’hui ?

Intégrer le microlearning en entreprise, c’est miser sur :

  • une formation continue souple et actualisable à tout moment,
  • des parcours personnalisés selon les besoins de chaque collaborateur,
  • une performance mesurable, grâce aux outils digitaux de suivi,
  • une expérience apprenante positive, favorisant l’engagement à long terme.

Selon LinkedIn Learning, 75 % des entreprises prévoient d’investir davantage dans ce format d’ici 2025. Cette tendance s’inscrit dans une vision durable de la formation, centrée sur l’agilité, l’autonomie et l’impact.


Conclusion

Le microlearning en entreprise n’est pas une tendance passagère, mais une transformation profonde de la manière de former. En combinant accessibilité, efficacité et engagement, il permet aux organisations de rester compétitives tout en développant les compétences de leurs équipes de manière ciblée et durable.

BPF 2025 : Quand déposer son bilan pédagogique et financier ?

BPF 2025 : Quand déposer son bilan pédagogique et financier ?

Tout prestataire de formation, formateur, CFA ou organisme de formation doit remplir et déposer son bilan pédagogique et financier (BPF) chaque année. Il s’agit d’une démarche exclusivement en ligne, accessible avec un compte EEP Connect. On vous explique tout.

BPF 2025 : quelle obligation ?

Le Bilan Pédagogique et Financier (BPF) concerne toute personne ou structure disposant d’un numéro de déclaration d’activité de formation : cela inclut aussi bien les organismes de formation que les formateurs indépendants.

Il doit être rempli chaque année, quelle que soit l’ampleur de l’activité réalisée, même si aucune action de formation n’a eu lieu.

Ce bilan, qui récapitule l’activité de l’année précédente, est obligatoire pour conserver la validité de la déclaration d’activité.
En cas d’oubli, d’absence de transmission ou si le BPF ne prouve aucune action de formation, l’organisme devra reprendre la procédure de déclaration d’activité depuis le début.

Le BPF se complète et se transmet exclusivement en ligne, via le portail « Mon activité formation », accessible grâce à un compte EFP Connect.

Comment faire son compte EFP Connect

BPF 2025 : Quelle date limite ?

Habituellement, la date limite de dépôt BPF est le 30 avril. Cependant, cette date est souvent repoussée au 31 mai, cela est déjà arrivé dans les derniers 4 ans.

Par exemple, DREETS Occitanie précise sur son site internet que la campagne de cette année n’est pas encore ouverte, elle se déroulera du 1er avril au 31 mai 2025. Alors que DRIEETS Ile de France ne précise pas encore de date limite.

Afin d’éviter tout problème, il vaut mieux se préparer pour un dépôt au 30 avril et anticiper la démarche. En plus, vous pouvez suivre les sites dédiés pour être à jour de tout changement. Et, bien sûr, votre DREETS reste à disposition si besoin pour vous donner toutes les informations.

Les étapes à suivre

Afin de remplir votre BPF 2025, vous pouvez vous rendre sur le site du gouvernement, plus précisément sur « Mon Activité Formation » (ou MAF).

Comment se connecter à MAF ?

Sur MAF, plusieurs informations de diverses catégories sont à renseigner, dont :

L’organisme de formation

Dans cette catégorie, vous devez renseigner quelques informations concernant votre organisme, dont le numéro de SIRET, votre code NAF etc.

Le bilan financier

Ensuite, vous devrez donner des informations financières sur votre organisme de formation. Cela concerne votre chiffre d’affaires hors taxe ainsi que des données plus spécifiques à ces dites formations. A ce moment-là, vous devrez également déclarer les charges imputables à votre activité de formation.

Le bilan pédagogique

Pour finir, viennent les informations concernant les actions de formation effectuées par votre organisme de formation. Nombre d’individus formés, nombre d’heures suiviesobjectif(s) des formations dispensées, etc.

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Une notice explicative sur le BPF est disponible sur le site du service public, ici.

événements clés de la formation en 2025

Les événements clés de la formation en 2025 à ne pas manquer !

Pourquoi assister aux événements clés de la formation en 2025 ?

L’innovation pédagogique et technologique évolue rapidement, impactant profondément la formation professionnelle et académique. Pour rester compétitif et informé des nouvelles tendances, il est essentiel de participer aux événements clés de la formation en 2025. Ces salons offrent un accès privilégié aux dernières innovations en EdTech, aux nouvelles méthodes pédagogiques et aux meilleures pratiques en matière d’apprentissage digital.

Que vous soyez formateur, décideur RH, professionnel de l’éducation ou acteur de l’EdTech, ces événements vous permettront de découvrir de nouveaux outils, d’échanger avec des experts et de développer des opportunités stratégiques.

Les événements clés de la formation en 2025 à inscrire dans votre agenda

1. Salon Innovative Learning by eLearning Expo – Mars 2025, Paris Expo, Porte de Versailles

Rendez-vous incontournable pour les professionnels de la formation digitale, ce salon met en avant les nouvelles tendances en e-learning, intelligence artificielle et gamification. En savoir plus

2. U Spring – Avril 2025, Paris

Un salon consacré aux universités d’entreprise et aux stratégies de formation continue pour booster la transmission des savoirs en entreprise. En savoir plus

3. EdTechX Europe – Juin 2025, Londres

Événement majeur en Europe réunissant startups, investisseurs et experts pour façonner l’avenir de la technologie éducative. En savoir plus

4. EdTech Day – Novembre 2025, Lyon

Une journée dédiée aux innovations pédagogiques et numériques, avec des ateliers et des conférences sur l’IA et les nouvelles approches d’apprentissage. En savoir plus

5. Educatec-Educatice – Novembre 2025, Paris Expo, Porte de Versailles

Salon de référence pour les professionnels de l’éducation, mettant en avant les solutions technologiques pour l’enseignement et la formation. En savoir plus

6. Learning Technologies Autumn Forum – Novembre 2025, Londres

Une rencontre clé pour découvrir les dernières innovations en formation digitale et échanger avec des experts du secteur. En savoir plus

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Les événements clés de la formation en 2025 sont des opportunités incontournables pour découvrir les tendances émergentes, rencontrer des experts et explorer des solutions innovantes.

En participant à ces salons, vous pourrez optimiser vos stratégies pédagogiques et être acteur des évolutions du secteur de la formation. Ne manquez pas ces occasions uniques de vous informer et de vous connecter avec les leaders de l’innovation éducative !

L'impact des business games dans l'enseignement

L’impact des business games dans l’enseignement : un outil pédagogique immersif et interactif

L’impact des business games dans l’enseignement est de plus en plus visible dans les méthodes d’apprentissage modernes. En effet, les approches pédagogiques immersives gagnent en popularité. Ces jeux de simulation permettent aux étudiants de développer des compétences en gestion, prise de décision et leadership tout en étant plongés dans des environnements réalistes.

De plus en plus d’établissements intègrent l’impact des business games dans l’enseignement pour rendre l’apprentissage plus interactif et engageant. Adoptés par de nombreuses écoles et universités, ils ont un effet fort sur l’engagement et la préparation au monde professionnel. De plus, leur utilisation dépasse les cursus académiques. Elle s’étend aussi aux certifications professionnelles et aux recrutements. Cet article explore leur rôle dans l’éducation et leur influence croissante sur l’emploi.

L’origine et la démocratisation des business games dans l’enseignement

Les business games ne datent pas d’hier. Leur origine remonte à la fin du XVIIIe siècle. En 1795, Johann Heinrich Pestalozzi, pédagogue suisse, créait des simulations pour enseigner l’économie et la gestion. Cependant, c’est au XXe siècle qu’ils se sont démocratisés. Dès les années 1950, les premières simulations informatiques ont vu le jour. (en savoir plus sur l’histoire du business game)

Aujourd’hui, leur adoption est massive. Par exemple, une étude de l’European Foundation for Management Development (EFMD) révèle que 70 % des écoles de commerce en Europe et aux États-Unis utilisent ces outils. De plus, l’Association to Advance Collegiate Schools of Business (AACSB) estime que 60 % des programmes MBA intègrent ces simulations.

Les business games dans l’enseignement offrent une pédagogie immersive et interactive. De nombreuses études confirment leur impact positif.

  1. L’impact des business games dans l’enseignement sur l’immersion et l’engagement Contrairement aux cours magistraux, ces jeux placent les étudiants dans des situations réelles. Ainsi, ils prennent des décisions stratégiques en fonction de contraintes économiques. Par exemple, une étude de Harvard Business School montre que les étudiants utilisant des simulations retiennent 35 % de concepts en plus.
  2. Le rôle des business games dans le développement des compétences Ces jeux améliorent des compétences essentielles : prise de décision, gestion du stress et travail en équipe. En effet, selon une étude de Stanford, 82 % des étudiants estiment avoir progressé en résolution de problèmes complexes.

Les bénéfices des business games pour les étudiants

  1. Un lien direct entre théorie et pratique grâce aux business games L’impact des business games dans l’enseignement est particulièrement visible dans leur capacité à relier théorie et pratique. Un rapport de McKinsey & Company indique que 75 % des recruteurs estiment que ces simulations préparent mieux les étudiants au monde du travail.
  2. Une motivation accrue et une meilleure collaboration La gamification stimule l’engagement. En conséquence, une enquête de l’Université de Montréal montre que 68 % des étudiants sont plus motivés lorsqu’ils apprennent avec un jeu interactif.

L’impact des business games dans l’enseignement et les certifications professionnelles

Ces outils ne se limitent plus aux cursus académiques. En effet, les business games dans l’enseignement se répandent dans les formations certifiantes et continues. Ils sont particulièrement populaires en management, finance et entrepreneuriat.

D’après un rapport du World Economic Forum, 65 % des professionnels ayant suivi une formation avec ces jeux se sentent mieux préparés à leurs fonctions.

Business games et enseignement : un lien avec les compétences professionnelles

De nombreuses entreprises collaborent avec les universités pour inclure ces simulations dans les programmes. Ainsi, elles renforcent le lien entre enseignement et exigences du marché.

Pourquoi les recruteurs utilisent-ils les business games ?

Les business games dans l’enseignement sont devenus un outil clé dans le recrutement. En effet, de nombreuses entreprises les intègrent pour évaluer les compétences des candidats.

D’après Deloitte, 48 % des entreprises du secteur financier et 55 % des grandes entreprises technologiques les utilisent dans leurs processus de sélection. Ces jeux permettent ainsi de tester les capacités analytiques, la prise de décision sous pression et la gestion des ressources.

Des exemples concrets de business games appliqués au recrutement

Des entreprises comme L’Oréal, PWC ou Unilever ont mis en place des simulations immersives. Elles permettent notamment d’évaluer la créativité, l’adaptabilité et le leadership des candidats.

Certaines multinationales les utilisent aussi dans leurs graduate programs. Ainsi, elles observent les réactions des candidats face à des défis complexes.

L’avenir des business games : innovation et nouvelles technologies

L’intelligence artificielle et les business games dans l’enseignement

L’essor des nouvelles technologies transforme ces simulations. En particulier, l’intelligence artificielle et la réalité virtuelle rendent l’expérience plus immersive et personnalisée.

Un marché en expansion pour les business games dans l’enseignement

L’évolution rapide de ces outils promet un avenir où l’apprentissage interactif jouera un rôle majeur. Ainsi, l’éducation et le recrutement bénéficieront pleinement de cette innovation.

L’impact des business games dans l’enseignement a profondément transformé l’éducation. En effet, ils offrent une méthode d’apprentissage immersive et interactive qui dépasse les approches classiques. En alliant théorie et pratique, ils développent des compétences essentielles et préparent mieux les étudiants au marché du travail.

Leur adoption s’étend aux certifications et aux recrutements. Ainsi, de nombreuses entreprises les utilisent pour évaluer les candidats et identifier les talents. Face aux évolutions technologiques, ces simulations continueront de s’améliorer et de s’adapter.

L’avenir des business games dans l’enseignement semble prometteur. En conséquence, leur rôle dans l’éducation et le recrutement va encore croître. Ils resteront un outil clé pour former les professionnels de demain.

Jeu icebreaker

Jeu Icebreaker : Définition, Exemples et Meilleures Pratiques pour Engager un Groupe

Pourquoi utiliser un icebreaker ?

Le jeu icebreaker est une activité destinée à briser la glace entre des participants qui ne se connaissent pas ou peu. Utilisés dans les ateliers, formations, réunions d’équipe ou séminaires, ils permettent de créer une atmosphère conviviale et d’encourager la communication. Ils favorisent l’engagement, renforcent la cohésion et dynamisent un groupe dès le départ. Chez Sciado Partenaires, nous intégrons stratégiquement des jeux icebreakers à chaque moment clé afin de recentrer l’attention des participants et maximiser l’impact des sessions.

1. Qu’est-ce qu’un icebreaker ?

Un icebreaker est un exercice court et interactif permettant aux participants d’interagir et de se sentir plus à l’aise. Ces activités sont adaptées à divers contextes :

  • Formation et éducation : faciliter l’apprentissage collaboratif.
  • Entreprises et événements professionnels : stimuler la dynamique d’équipe.
  • Team building et séminaires : renforcer la cohésion entre collaborateurs.
  • Réunions et webinaires : dynamiser les interactions à distance.

2. Pourquoi intégrer un jeu icebreaker dans vos événements ?

L’icebreaker a plusieurs avantages clés :

  • Briser la glace : il détend l’ambiance et favorise les échanges.
  • Stimuler la participation : il engage les participants et favorise l’implication.
  • Faciliter la communication : il instaure un climat de confiance.
  • Booster la collaboration : il encourage le travail d’équipe.

3. Les différents types d’icebreakers

Icebreakers rapides

Idéaux pour les sessions courtes, ils permettent de démarrer en douceur :

  • Tour de table express : chaque participant partage une information en 30 secondes.
  • Question à la volée : chacun répond à une question simple et originale.

Icebreakers créatifs

Ces activités stimulent l’imagination et l’interaction :

  • Dessin collaboratif : créer une fresque collective.
  • Storytelling express : raconter une histoire en 3 phrases.

Icebreakers énergisants

Parfaits pour dynamiser un groupe, ils renforcent l’énergie collective :

  • Défis d’équipe : résoudre un mini-challenge ensemble.
  • Quiz interactif : tester les connaissances de manière ludique.

Icebreakers en ligne

Idéals pour les réunions à distance, ces activités favorisent l’interaction virtuelle :

  • Mur d’idées digital : partage d’impressions via un outil collaboratif.
  • Emoji Mood : chaque participant exprime son état d’esprit en emojis.

4. Exemples concrets des jeu icebreaker efficaces

1. Le tour de table inversé

Chaque participant doit deviner un fait marquant sur un autre membre du groupe.

2. Deux vérités et un mensonge

Chaque personne présente trois affirmations sur elle, dont une fausse. Les autres doivent deviner laquelle.

3. L’objet mystère

Chaque participant montre un objet qui le représente et explique pourquoi.

4. Le speed meeting

Des duos se forment et discutent pendant 2 minutes avant de changer d’interlocuteur.

5. Le défi créatif

En 5 minutes, chaque équipe doit créer un slogan ou un logo représentant un thème donné.

5. Comment réussir son Icebreaker ?

  • Adapter l’icebreaker à l’audience : choisir une activité pertinente pour les participants.
  • Prendre en compte le timing : veiller à ce que l’exercice ne soit ni trop long ni trop court.
  • Encourager la participation : créer un climat où chacun se sent à l’aise.

L’Icebreaker, un outil puissant pour engager un groupe

Les icebreakers sont un excellent moyen de démarrer une rencontre sur une note positive, d’encourager l’interaction et d’optimiser l’engagement. Chez Sciado Partenaires, nous veillons à introduire ces activités à des moments stratégiques pour recentrer les participants et maximiser l’impact des sessions.

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Pour en savoir plus sur les icebreakers et leurs usages, consultez cet article de HubSpot.