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Infographie : Tendances digitales dans la formation en 2019

S’adapter n’est pas un choix, mais une nécessité !

Et la formation n’en fait pas exception. Avec l’Internet, l’enseignement a évolué constamment et s’est s’adapté aux exigences du marché.

Nous avons déjà évoqué l’importance de l’E-learning à nos jours. Aujourd’hui, nous allons plus loin et traitons les différents apprentissages digitaux.

La formation en 2019 : tendances digitales et évolution

La Gamification

Le jeu dispose d’une immense pouvoir pour retenir l’attention. La gamification ou la pédagogie par le jeu apparaît donc comme un moyen innovant pour engager les publics, les rendre plus attentifs réceptifs.

Les écoles utilisent le jeu dans leur formations pour motiver et engager les apprenants, et les résultats sont encourageants : ils adorent !

Ces effets positifs permettent d’envisager les formations e-learning ou blended learning avec un niveau d’engagement et d’attention équivalent au face à face pédagogique.

Le Motion Design

Ou plus simplement la vidéo. Même si les animations graphiques existent depuis longtemps, le motion design est une discipline jeune.

Néanmoins, elle occupe une place importante dans la formation en ce moment. Les vidéos ont un impact significatif sur les apprenants et facilitent l’apprentissage. L’explication est simple : les animations « attirent l’œil » sans pour autant déformer l’information.

Social Learning

Il s’agit d’un mode d’apprentissage collaboratif, qui permet aux apprenants de partager et échanger via des outils tels que le chat, forum, blog etc.

En effet, le travail en groupe a plusieurs avantages, le plus important étant le « double rôle » de l’apprenant. Ce dernier sera à la fois apprenant et enseignant, ce qui permet de mieux comprendre et également de formuler des explications pour les autres. Les simulations pédagogiques pratiquées en équipe favorisent fortement les situations de social learning (ou peer learning).

Micro-Learning

Comme son nom l’indique, le Micro-Learning s’appuie sur des séances très courtes d’apprentissage. Pendant 3-5 minutes, les apprenants suivent des modules sous différentes formes : quiz, jeu, vidéo, images etc.

Malgré la courte durée, ce type d’apprentissage est très efficient et apprécié par les apprenants car il répond rapidement à un besoin immédiat. L’intérêt est de pouvoir « consommer » au moment du besoin. Il ne reste plus au formateur qu’à créer des situations de questionnement (via des simulateurs par exemple) pour lesquelles l’apprenant ira chercher des réponses dans les contenus.

Intelligence artificielle

Les rapports entre l’intelligence artificielle et la formation datent depuis des années, se développent de plus en plus de nos jours.

L’IA en pédagogie par exemple a une capacité à aider et faciliter le travail du formateur (automatisation de l’évaluation, exercices automatiques et autocorrection, identification du profil des apprenants, adaptation des messages etc…).


Toutes ces tendances ont en commun le changement de paradigme et la transformation de l’enseignement.

L’apprenant devient acteur de sa formation, il décide quand, comment et où apprendre. Il participe à son propre apprentissage et collabore avec ses collègues et ses formateurs afin d’échanger et partager les savoirs.

L’aide unique pour les employeurs d’apprentis : comment l’obtenir ?

A partir du 1er janvier 2019, les employeurs qui forment des apprentis en CAP ou en BAC pro bénéficieront d’une aide unique versée par la région. Découvrez dans l’article quel est le montant de l’aide unique et comment l’obtenir. 

Ainsi, l’aide unique s’adresse :

♦ aux employeurs d’apprentis de moins de 250 salariés ;

♦ qui concluent un contrat en apprentissage à compter du 1er janvier 2019 ;

♦ pour la préparation d’un diplôme ou d’un titre à finalité professionnelle de niveau inférieur ou égal au bac.

Quel est le montant de l’aide unique ?

♦ 4 125 € maximum pour la 1re année d’exécution du contrat ;

♦ 2 000 € maximum pour la 2e année d’exécution du contrat ;

♦ 1 200 € maximum pour la 3e année d’exécution du contrat.

Important !
Si la durée du contrat d’apprentissage est supérieure à trois ans, alors le montant maximal prévu pour la 3e année d’exécution du contrat s’applique également pour la 4e année.

Comment l’employeur d’apprentis peut obtenir l’aide unique ?

Pour tout contrat d’apprentissage enregistré par la chambre consulaire, l’aide est versée chaque mois par l’Agence de services et de paiement (ASP). Ainsi, le paiement se fera à compter du début d’exécution du contrat.

Le Ministère du Travail à mis à la disposition des lecteurs une synthèse de toutes les démarches à faire pour bénéficier de cette aide.

Pour pouvoir en bénéficier, l’employeur doit adresser le contrat conclu avec l’apprenti à la chambre consulaire dont il dépend pour enregistrement. Et cela avant le début de l’exécution du contrat d’apprentissage.

Sur le contrat, doivent figurer :

♦ la signature de l’employeur

♦ la signature de l’apprenti (et de son représentant légal s’il est mineur)

♦ le visa du centre de formation d’apprentis attestant l’inscription de l’apprenti afin qu’il soit enregistré

Lorsque le contrat est enregistré, la chambre consulaire notifie le numéro d’enregistrement du contrat à l’employeur. Elle envoie également un exemplaire du contrat enregistré à l’employeur, à l’apprenti et aux services du ministère du Travail.

Une fois le contrat enregistré par la chambre consulaire, le processus de demande d’aide est enclenché. Par conséquent, les services du ministère du Travail transmettent les contrats éligibles à l’aide unique à l’ASP, qui est chargée du paiement de l’aide.

Source: Ministère du Travail

UPDATE : À partir de 2019, l’employeur d’apprentis reçoit une aide unique

La loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel apporte des nouveautés dans l’apprentissage. Les premiers changements majeurs sont déjà en vigueur, depuis le 1er janvier 2019.

En effet, la loi garantit le principe « un contrat = un financement », annonce le Ministère de Travail sur son site internet. L’institution mentionne également qu’un jeune et une entreprise qui signeront un contrat d’apprentissage auront un financement.

Quels changements pour les employeurs ?

Les employeurs d’apprentis bénéficieront de financement de l’État. Cette mesure apparaît dans la Section 3 : L’aide aux employeurs d’apprentis de la nouvelle loi.

“Les contrats d’apprentissage conclus dans les entreprises de moins de 250 salariés afin de préparer un diplôme ou un titre à finalité professionnelle équivalent au plus au baccalauréat ouvrent droit à une aide versée à l’employeur par l’État”, il est mentionné dans la Loi n° 2018-771.

Il s’agit d’une aide unique versée par la région aux employeurs qui forment des jeunes en CAP ou en BAC pro.

Les montants et les modalités d’attribution sont détaillés dans le Décret n° 2018-1348 du 28 décembre 2018 relatif à l’aide unique aux employeurs d’apprentis 

L’aide unique est mise en place depuis le : 1er janvier 2019

Pour les contrats d’apprentissage conclus à compter du 1er janvier 2019, l’aide unique sera versée par l’agence des services de paiements.

D’après le document du Ministère, elle remplace la prime à l’apprentissage et l’aide au recrutement de l’apprenti supplémentaire, ainsi que l’aide TPE jeune apprentis et le crédit d’impôt.

Une autre nouveauté réside dans la possibilité pour toutes les entreprises d’ouvrir un Centre de Formation d’Apprentis (CFA). De plus, il sera possible d’entrer en apprentissage tout au long de l’année. En même temps, la durée du contrat tiendra en compte des acquis de l’apprenti.

Enfin, la loi stipule qu’il y aura un collecteur unique : l’Urssaf.

« (…) L’accès du plus grand nombre à l’apprentissage repose sur un prérequis : le développement de l’offre de formation et libération de l’énergie des nombreux réseaux de qualité qui veulent s’investir davantage, mais aussi des certains secteurs ou encore d’entreprises qui veulent créer leur CFA en interne”, déclara cet été Muriel Pénicaud, ministre du Travail.

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IFAG Alumni : Jouer n’est pas tromper !

Issus de la même promotion (IFAG Lyon 2011), Jean-Baptiste SERIZIAT et Romain BLOURDE ont toujours fait de la formation en parallèle de leur job en mode auto-entrepreneur.

Ils se revoient 4 ans après la fin de leurs études et se trouvent un appétit commun pour la formation et l’entrepreneuriat. C’est alors que naît SCIADO, en Juin 2015, société spécialisée dans l’apprentissage par le jeu.

Aujourd’hui, l’entreprise dotée de 10 salariés développe des simulateurs pédagogiques utilisés par des écoles telles que : l’IFAG, l’Inseec, Les Mines, Centrale, Sup La Mâche Lyon, etc.

« Learning by doing » – telle est leur approche de l’apprentissage et de la réussite !

A quoi sert le jeu pour les adultes ?

Relever des challenges d’apprentissage lorsqu’on n’y arrive pas. Les phases d’apprentissage s’articulent autour de la répétition entrecoupée de situations exceptionnelles. Le but est de tester la prise de décision tout en intégrant les informations essentielles.

Pour améliorer cet apprentissage experiential, nous avons également des simulateurs axés management, finance, RH. Nous pouvons donc les modéliser selon les besoins des écoles ou des entreprises.

Comment se passe cet apprentissage ?

Très simplement car nous sommes concepteurs de simulateurs, mais aussi organisme de formation. Cela nous permet de proposer du « présentiel augmenté » avec un formateur qui enseigne via nos simulateurs. En même temps, nous proposons aussi du « Blended learning », où le formateur est présent uniquement sur les phases à forte valeur ajoutée.

e-learning

Blended-Learning vs. E-learning : 5 différences essentielles

L’E-learning est un terme anglais qui signifie “apprentissage par des moyens électroniques”, apparu avec l’arrivée de l’internet et des nouvelles technologies.

Ce terme est également utilisé en parlant d’une formation à distance et beaucoup d’apprenants la choisissent pour sa flexibilité et son adaptabilité, ainsi qu’aux coûts souvent moins élevés qu’une formation présentielle.De nos jours, l’enseignement à distance prend une place de plus en plus importante et évolue constamment en raison de son accessibilité depuis de nombreux supports (tablette, smartphone, applications etc.) et sous plusieurs formes : e-learning, online learning ou bien blended-learning.

Aujourd’hui, nous allons nous concentrer sur l’E-learning et le Blended-Learning, leurs avantages, leurs modalités d’apprentissage ainsi que les différences notables entre ces deux méthodes.


E-Learning

» L’e-learning est connu comme l’apprentissage à distance ou encore distanciel.

» Il s’agit d’un cours entièrement en ligne, donc sans contact face-à-face entre apprenant et formateur.

» L’enseignement est normalement géré par un enseignant qui planifie et mène les activités du cours. Il est néanmoins possible que le formateur soit remplacé par des logiciels didactiques.Blended-Learning

» Le Blended Learning est un type de formation qui combine l’E-learning avec le présentiel.

» Dans ces cours, la proportion du contenu en ligne se situe entre 30 à 79%*, et le formateur rencontre ses apprenants face-à-face. Il est ainsi appelé l’apprentissage mixte ou hybride.

» Les apprenants ont la possibilité de retourner consulter les contenus à leur rythme sur une plateforme en-ligne.


Quelles sont les grandes différences entre E-learning et Blended-Learning ?

Contenu en ligne   

L’E-learning a une proportion de 80 à 100% de contenu en ligne. Ce type de formation est très flexible et ne comprend pas de partie présentielle.

En comparaison, dans les cours Blended-Learning l’enseignant combine le présentiel avec le virtuel. Statistiquement, il s’agit de 30 à 79% de contenu en ligne*.

Contact face-à-face avec les apprenants

Le Blended Learning bénéficie de la présence d’un formateur, qui organise des rencontres face-à-face avec ses apprenants. A l’opposé, l’E-learning s’appuie uniquement sur le contenu en ligne et parfois le formateur est même remplacé par des logiciels pédagogiques.

Les coûts

Les deux type de formation ont l’avantage d’un coût réduit. La seule différence entre les deux réside dans la présence du formateur.

Une formation Blended-Learning peut coûter plus cher que celle en E-learning, car il s’agit d’une rencontre face-à-face et il faut donc prévoir des coûts pour l’enseignant et ses déplacements (si besoin). Niveau logistique, le Blended-Learning implique également une salle de cours ou un espace pour les réunions présentielles, ainsi que des matériaux ou outils tels que : ordinateur, vidéoprojecteur, présentations, supports de cours etc.

Flexibilité

Une formation présentielle reste très contraignante, à l’inverse d’une formation online. L’E-learning permet aux apprenants de s’organiser comme ils le souhaitent et de suivre la formation à leur rythme.

Le Blended-Learning est un peu moins flexible que l’E-learning et moins contraignant que le présentiel. C’est un compromis qui laisse une certaine autonomie et gestion du temps aux apprenants, tout en les responsabilisant via les rencontres en face-à-face avec le(a) formateur(trice).

Absence du formateur

Peu importe l’âge des apprenants, leur niveau ou leur exigences, la présence humaine est indispensable pour assurer un bon suivi et un accompagnement de qualité. Un module E-learning manque d’un tuteur, d’un pédagogue qui motive et rassure les stagiaires.

Le Blended-Learning réduit cette absence du formateur et modernise le présentiel en lui apportant de l’innovation et de l’interactivité.

Quant aux avantages…

Au delà de toutes les différences énoncés ci-dessus, l’E-learning et Blended Learning ont beaucoup d’avantages en commun.

Le premier et le plus important est que l’apprenant devient acteur de sa formation, il prend des décisions, est autonome et gère ses responsabilités.

Ensuite, les deux permettent également une individualisation du parcours de formation, ainsi qu’une gestion du temps optimisée.

Pour les entreprises, cela revêt un caractère essentiel, car les professionnels qui se forment doivent aussi continuer à travailler. Cette forme d’apprentissage permet donc de renforcer l’autonomie des participants.

Un autre avantage est lié au suivi et au contrôle des apprenants. Les outils numériques permettent de tester les apprenants tout au long de la formation et ainsi de déterminer objectivement s’ils maîtrisent ou non les différentes notions-clés. Par conséquence, c’est un gain de temps pour les stagiaires et pour les formateurs.

formateur

Avez-vous les qualités du formateur de demain ?

L’ère digitale a tellement transformé la formation que de nombreux cours et outils pédagogiques sont disponibles en ligne et utilisables sur les tablettes, applications mobiles et smartphone.

De plus, les apprenants peuvent trouver des réponses sur une variété de sujets avec une simple recherche sur Google !

Dans ces conditions, une question de plus en plus évidente émerge : y-a-t-il encore besoin des formateurs ? Et si oui, quel est leur rôle et comment peuvent-ils adapter les méthodes éducatives aux nouvelles technologies ?

Formateur, animateur, facilitateur…

L’époque où le professeur faisait ses cours de A à Z est révolue. Avec l’aide de divers outils électroniques, les cours sont déjà préparés, les supports sont en ligne, les présentations et les notions théoriques sont remplacées par des serious games, business games et d’autres instruments pédagogiques novateurs.La présence humaine reste néanmoins indispensable pour une formation réussie !

Ce qui change c’est principalement son rôle et sa posture.

Plutôt que de créer et diffuser du contenu, le formateur doit se transformer en curateur, sélectionner les bonnes informations et mettre les apprenants « sur la piste ». Il devient donc animateur, source de motivation, accompagnateur et facilitateur.Seuls les bons professeurs forment les bons autodidactes.J.F. REVEL


Les missions du formateur à l’ère digitale

Aider au positionnement et à la planification

Il faut savoir s’organiser pour apprendre efficacement. L’apprenant n’a pas l’expérience pour connaître ses besoins, ce qu’il doit améliorer, les compétences qu’il lui faut ou comment organiser le rythme d’apprentissage.

C’est là où le formateur intervient, pour aider l’apprenant à prendre conscience de ses pistes d’amélioration et à planifier son temps de travail, ainsi qu’à établir le niveau d’apprentissage (débutant, moyen, avancé).

Faciliter l’apprentissage

Le formateur de demain ne doit plus détenir le savoir et toutes les notions théoriques. En revanche, il va accompagner l’apprenant à développer ses réflexes, à utiliser différentes sources d’information et à s’orienter vers des ressources pédagogiques pertinentes. Par conséquence, il deviendra un guide dans l’apprentissage, en laissant à l’apprenant la responsabilité de ses décisions.

Néanmoins, il doit toujours le soutenir et le rassurer, en le dirigeant sur la bonne route et en donnant un feed-back constructif et détaillé.

Motiver ses apprenants

La motivation est indispensable pour susciter l’intérêt des apprenants. Et quel meilleur moyen pour motiver que de mettre l’apprenant au centre de sa formation ?

En devenant un acteur actif de son apprentissage, l’apprenant prendra des décisions, analysera et agira de manière interactive et productive. Il évoluera par l’essai, il fera des erreurs et surtout sera capable de les analyser pour les comprendre.

Être créatif et innovant

Avec tous les dispositifs numériques à sa disposition, le formateur doit trouver le moyen de transmettre des savoirs de façon innovante. Pour cela, il sera peut être amené à sortir de sa zone de confort, à s’adapter aux nouvelles technologies et à maîtriser les outils numériques pédagogiques.

Plus il deviendra conscient de l’importance du digital, plus ses formations seront intéressantes et dynamiques.

Se former et être informé

Chaque formateur doit être à jour avec les nouveautés de sont métier. Ainsi, il doit se former régulièrement, participer à des conférences / séminaires, être en contact avec des organismes de formation, être au courant avec les changements législatifs.

Il est donc important d’éviter l’enfermement dans des méthodes éducatives “anciennes” et assumer que ses compétences doivent se diversifier et se renforcer, à l’instar de ce que viennent chercher ses apprenants.

portage salarial

Réforme du Code du travail : ce qui change pour le portage salarial

La nouvelle réforme inclut une plus grande souplesse au niveau des entreprises et accorde plus de place au portage salarial. Le développement des travailleurs indépendants a, en effet, connu un grand bond, ces dernières années.

Le nouveau Code s’avère donc être un véritable boosteur pour les salariés portés, qu’il soient freelancesconsultants ou managers de transition.

Les conditions de travail du salarié (salaire minimum, durée légale du temps de travail, égalité professionnelle, etc.) sont les principaux changements abordés par le nouveau Code du travail.

Principales lignes favorisant le freelance

Pour résumer en quelques lignes, les entreprises sont libres de décider les conditions de travail de ses salariés, en interne. Auparavant, il fallait signer un accord collectif avec les autres entreprises du même secteur, via les conventions collectives.

Ces changements favorisent ainsi la flexibilité et la souplesse des entreprises qui seront plus libres au niveau du choix de leurs salariés et des règlements de travail. La réforme du Code du travail optimise également la flexibilité au niveau des travailleurs indépendants et des salariés en portage. Ces derniers représentent aujourd’hui un avantage pour les entreprises. Ils sont capables de réaliser leur travail de façon efficace et rapide, ainsi que d’améliorer la productivité d’une entreprise.

La réforme permet donc aux travailleurs portés d’obtenir toutes sortes de contrats avec des entreprises différentes. Et cela en toute légalité. Outre les économies réalisées avec la diminution des charges sociales, un travailleur qui exerce en statut de portage salarial peut gagner encore plus d’argent en réalisant des missions variées et en négociant librement son salaire avec ses clients.

Retrouvez ici l’intégralité de l’article.

Source admission.fr

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Les Business Games Pédagogiques, le choix d’Isabelle Carrassus pour l’IFAG

Sciado Partenaires et l’IFAG travaillent ensemble depuis plus de 5 ans sur l’animation des Business Games Pédagogiques. Au fil du temps, la collaboration a évolué naturellement et se base maintenant sur la confiance, le respect des valeurs de l’école et, bien sûr, sur la passion pour les formations innovantes.

L’interview que nous vous présentons aujourd’hui valorise encore davantage ce partenariat et met en avant le travail d’équipe, un élément indispensable pour assurer le succès de chaque formation !

Nous vous invitons donc à faire la connaissance d’ Isabelle CARRASSUS, Responsable Pédagogique Nationale IFAG, avec qui nous avons échangé autour de la pédagogie par le jeu, de l’esprit IFAG, du courage et de l’innovation.

Tout cela et bien plus dans une interview inspirante pour nous tous !


Pourquoi avez-vous choisi le Business Game dans vos formations ?

Isabelle CARRASSUS : Pour nous, une formation est considérée réussie quand les étudiants ont acquis les compétences relatives au module. Lors d’un module, les étudiants passent par la connaissance pour les amener à la compétence. Et grâce au Business Game, ils accèdent aux deux très rapidement. De plus, la formation par le jeu favorise le côté challenge, tout en apportant de la pédagogie.

Les étudiants apprécient-ils ce type de formation ?

I. CARRASSUS : Tout à fait, les étudiants adorent être mis en scène, devenir acteurs de leur formation ! L’IFAG utilise les Business Games pédagogiques depuis très longtemps et les résultats ont été excellents à chaque fois. Les étudiants aiment les challenges et cela nous a toujours motivé à innover pour répondre à leur besoins. Nous avons donc décidé d’être audacieux et avons eu avec Sciado Partenaires l’idée d’organiser des séminaires pédagogiques sur tous les campus IFAG en même temps.

Il s’agit des business games nationaux  ?

I. CARRASSUS : Oui. Au début, nous avons testé en local, à l’époque nous étions 9 campus et chacun a pu les animer comme il le souhaitait à la rentrée. Au fur et à mesure, nous avons intégré d’autres business games (sur d’autres thèmes) car les étudiants des autres promotions en voulaient aussi. C’est une très bonne entrée en matière en début d’année, cela montre une dimension réseaux que nous ne pouvons pas avoir sur d’autres événements.

La formation par le jeu favorise le côté challenge, tout en apportant de la pédagogie.

De quelle manière ces séminaires nationaux répondent-ils aux besoins de vos étudiants ?

I. CARRASSUS : Pour nos étudiants, c’est le tout début et les séminaires leur permettent de passer entre 3 et 5 jours ensemble, de suer ensemble, d’échanger, de se challenger… La dynamique est donc totalement différente car ils se connaissent mieux après cela, alors que sans les business games ils auraient eu besoin de plus de temps pour se connaître.

Je pense qu’ils sont aussi très fiers de faire partie d’un réseau d’écoles aussi grand. Ils en voient les bénéfices par rapport à leur métier futur, c’est un réseau qu’ils sont en train de se créer donc c’est génial ! Quand je vois les diplômés sortis de l’école, qui ont gardé des contacts, qui ont continué à réseauter entre IFAGUIENS et à faire du business, je me dis qu’ils ont tout compris de notre état d’esprit, de nos valeurs.

Et aux attentes de l’IFAG ?

I. CARRASSUS : L’avantage de ces challenges nationaux est l’apport d’une réelle dynamique entre les campus. Il y a des promos de 20-30 étudiants et les étudiants n’arrivent pas à s’imaginer qu’il y a les mêmes promos dans d’autres villes en France. Nous avons 345 équipes (NDLR : composées de 3 à 5 personnes) qui ont joué et participé à ces séminaires pédagogiques durant les premières semaines de rentrée. Cela montre tout de suite l’importance du réseau IFAG et indique aux jeunes qui ne nous connaissent pas qu’il s’agit d’une école à dimension nationale contrairement à ce que l’on pourrait penser.

Aujourd’hui l’IFAG compte 16 campus, plus de 1700 étudiants. L’organisation d’un Business Game national est-elle compliquée ?

I. CARRASSUS : C’est vrai qu’au début nous étions stressés concernant l’organisation, mais maintenant il n’y a plus besoin d’intervenir. Nous faisons des points réguliers avec l’équipe Sciado Partenaires sur ce qui fonctionne et fonctionne moins. Nous sentons vraiment les améliorations, les débriefings que nous faisons ont des résultats, c’est rapide et efficient.

L’entreprise a pris les rênes sur l’organisation des business games (ndlr : 1er, 2ème, 4ème et 5ème année) et je n’ai presque plus à intervenir, seulement pour féliciter les performances des étudiants !1700

Quels sont les points forts de Sciado Partenaires pour organiser un tel événement pédagogique ?

I. CARRASSUS : Ils savent répondre aux besoins des campus à la dernière minute en cas de problème. Leur formateurs connaissent très bien les outils et la dynamique d’animation, ce qui est très rassurant pour les écoles. J’ajoute également le fait que l’équipe Sciado reste très disponible pour les formations d’autres formateurs. Elles se déroulent souvent pendant l’été et ce n’est pas évident. Cela se passe toujours bien surtout quand les formateurs ont besoin d’eux. Ils sont présents et ça c’est vraiment super !

Quelles qualités propres à Sciado Partenaires pensez-vous ne pas trouver ailleurs ?

I. CARRASSUS : Tout d’abord, le respect des valeurs de notre école, à savoir le travail d’équipe et l’humilité que l’on attend d’un professionnel. Ils comprennent très bien la philosophie de l’IFAG et savent se remettre en cause lorsque cela est nécessaire. La proximité est aussi une autre de leurs qualités appréciables. Ils prennent le temps de débriefer avec nous, de mettre en place des plans d’actions et cherchent à améliorer les process. Ils ne considèrent jamais que le marché est “acquis” et veulent toujours s’améliorer d’année en année.

L’équipe de formateurs Sciado maîtrise les Business Games ainsi que la dynamique d’animation.

Nous observons les résultats de ces améliorations tous les ans et ils nous accompagnent au fur et à mesure pour s’adapter aux nouvelles exigences académiques. Par exemple, nous travaillons ensemble sur des aspects de validation de compétences ce qui nous permet de proposer des formations en adéquation avec les besoins de nos étudiants.

Sciado Partenaires pour vous en 3 mots.

I. CARRASSUS : Réactivité, écoute et convivialité. Ils ont beau être chefs d’entreprise et avoir d’autres clients aussi importants que l’IFAG, ils sont toujours disponibles lorsque nous les appelons, très à l’écoute, ils arrivent à nous mettre à l’aise et restent toujours ouverts à l’amélioration.

Vous avez un projet de Business Game ? Contactez-nous !

L’IFAG est une école de management et d’entrepreneuriat installée dans 16 campus en France. Elle propose aujourd’hui des séminaires en gestion de projet, diagnostic stratégique d’entreprise, transmission et reprise d’entreprise, production et système d’information.

apprentissage

Appel à projets pour la préparation à l’apprentissage : qui peut soumettre des dossiers ?

Le Ministère de Travail lance un appel à projets pour la création d’une préparation à l’apprentissage, d’après un communiqué de presse issu récemment par l’institution. La démarche a comme objectif de faciliter l’intégration dans le monde professionnel des jeunes vulnérables, avec un accès réduit à la formation.

Qui pourra soumettre un projet ?

–> Chaque Centre de Formation d’Apprentis (CFA) ou groupement de CFA ou organisme compétent en matière d’insertion professionnelle et d’apprentissage et associé à au moins un CFA.

Quel accompagnement pour les porteurs des projets

–> Les organismes sont libres d’imaginer ce qui leur semble le plus adapté.

–> La durée des parcours peut varier de quelques jours à plusieurs mois.

–> L’accompagnement doit permettre d’identifier les compétences et les connaissances du jeune et de sécuriser son entrée en contrat d’apprentissage.

–> Les projets qui ciblent les jeunes dont le niveau de qualification est inférieur au niveau IV seront prioritaires.

–> La priorité ira aussi pour les projets qui concernent les jeunes résidant dans les quartiers de la Politique de la ville (QPV) ou les zones rurales défavorisés.

Coûts éligibles

–> Tous les coûts d’études et d’ingénierie, d’accompagnement, de coordination, de suivi et d’évaluation sont éligibles.

–> Par contre, les coûts liés à l’acquisition de terrains ou des investissements immobilier ne sont pas éligibles.

Quels sont les critères de sélection ?

Les projets seront sélectionnés par un comité de sélection qui tiendra compte de plusieurs critères. Voici quelque uns :

– la crédibilité du porteur de projet ou du consortium qui le conduit

– la qualité de la gouvernance et du modèle économique

– la densité des partenariats territoriaux ou sectoriels

– la pertinence de la proposition

– l’ambition expérimentale et novatrice du projet, y compris les modes d’évaluation

Le montant des subventions n’est pas plafonné, mais le financement accordé ne pourra dépasser 80% du budget total. Pour bénéficier des subventions, les lauréats signeront une convention avec le financeur. Ce document précisera le rythme des versements, les modalités de communication et d’évaluation, etc.

La date limite pour soumettre les projets est avril 2019.

Une première sélection aura lieu en décembre 2018 pour les projets pouvant commencer dès les premières semaines de l’année 2019.

L’architecture détaillée du dossier de réponse et le cahier des charges complet seront disponibles bientôt sur le site du ministère du Travail.

Source : Ministère du Travail

universités européennes

Erasmus+ : 30 millions d’euros pour les universités européennes

La Commission Européenne veut mettre en place des universités européennes, d’après un communiqué de presse de la Commission Européenne publié mercredi, le 24 octobre 2018.

L’institution consacrera un montant de 30 millions d’euros à la création des universités européennes. Cela représente une partie minime du budget total du programme Erasmus+, qui devrait s’élever à 3 milliards d’euros l’année prochaine.

« Cette nouvelle initiative a été approuvée par les dirigeants de l’Union européenne et constitue une étape vers la création d’un espace européen de l’éducation d’ici 2025 », mentionne le document cité.

Le but est donc de renforcer l’identité européenne et d’améliorer la compétitivité des établissements européens d’enseignement supérieur.

« (…) Nous œuvrons en faveur d’une Europe où l’apprentissage, les études et la recherche ne seront pas entravés par des frontières. Il n’y aura pas de murs entravant l’excellence, l’innovation et l’inclusion en matière d’éducation », a déclaré M. Tibor Navracsics, commissaire européen chargé de l’éducation, de la culture, de la jeunesse et du sport.

Le commissaire a également ajouté que « les universités européennes ont un réel potentiel de transformer le paysage de l’enseignement supérieur en Europe ».

Comment créer les universités européennes ?

Les universités intéressées par cette initiative peuvent consulter l’appel à propositions 2019 du programme Erasmus+, lancé par la Commission Européenne. De plus, le guide du programme Erasmus+ est aussi disponible dans toutes les langues officielles de l’UE. Lancé cette semaine, le guide fournit des informations détaillées sur toutes les possibilités offertes en 2019.

D’après ces documents, la Commission lancera un programme pilote qui soutiendra six alliances d’universités européennes. Chaque alliance doit en effet regrouper au moins trois établissements d’enseignement supérieur de trois pays.

Les universités doivent soumettre leur demande de subvention à l’Agence exécutive «Éducation, audiovisuel et culture» avant le 28 février 2019.

Ainsi, l’objectif est de mettre en place une vingtaine d’universités européennes d’ici 2024, comme l’indique le communiqué de presse.