EdTech-Day

Edtech Day : Utiliser le digital pour maximiser la collaboration entre équipes pédagogiques, apprenants et formateurs

Au courant du mois d’octobre, Sciado Partenaires sera présent lors de Edtech Day, un tout nouvel événement EdTech. Découvrez dès à présent de quoi il s’agit !

Le 13 octobre 2021, Jean-Baptiste Sériziat, président et directeur commercial de Sciado Partenaires, va participer en tant que speaker au EdTech Day. Son objectif ? Témoigner des réussites d’intégration d’une solution EdTech dans un scénario pédagogique.

Armelle Vivien, formatrice partenaire de SCIADO et intervenante à l’École de Management et Entrepreneuriat IFAG, l’accompagnera. Ils parleront alors de la semaine de spécialisation IFAG organisée tous les ans. Cette dernière, destinée aux étudiants BAC +5 de l’école, regroupe en simultané la majorité des campus français de l’école.

Y participant depuis désormais cinq ans, Sciado Partenaires apporte à cet événement digitalisation, innovation et formateurs.

Découvrez dès à présent tout ce que vous devez savoir sur cette semaine de spécialisation 100% digitale et à distance !

La coopération à l’honneur

Ensemble, Jean baptiste et Armelle vont partager leurs expériences de formateurs auprès du public présent lors de Edtech Day. Cela sans bien sûr oublier de mettre en avant l’importance de la coopération et du travail collaboratif. En effet, le succès d’une animation repose sur plusieurs éléments et l’essentiel est d’avoir une équipe d’intervenants bien préparées, avec des outils et solutions pédagogiques adaptés aux apprenants.

Leur intervention sur le thème « Maximiser la collaboration d’un réseau national en une semaine, ça se joue » aura lieu mercredi 13 octobre 2021 à partir de 10h30 à L’Embarcadère à Lyon. Les inscriptions sont toujours ouvertes.

Nous vous attendons nombreux pour échanger autour de la digitalisation, la coopération et la pédagogie !

Pour information, Armelle Vivien est non seulement membre du réseau de formateurs SCIADO mais également coach, animatrice et enseignante à l’IAE Lyon. Elle est spécialisée en commerce international mais travaille aussi sur l’accompagnement des entreprises, le développement commercial, la négociation et le marketing digital.

Contribution-formation

Contribution de la formation : changements dès 2022

Jusqu’à présent, la collecte de la contribution unique pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’effectuait par les opérateurs de compétences – ou OPCO. Dès 2022, des changements s’opèrent dans le but de simplifier la démarche pour les entreprises, et la collecte sera prise en charge par les URSSAF (Union de Recouvrement de cotisations de Sécurité Sociale et d’Allocations Familiales) ainsi que la MSA (Mutualité Sociale Agricole). D’après une communication de France Compétences, explications sur les dispositifs mis en place dans les prochains mois.

1-Des nouveautés pour 2022

Dès janvier 2022, certains changements seront effectifs. Ces modifications s’expriment en trois points :

  • Un interlocuteur unique, à savoir l’URSSAF ou la MSA pour les déclarations et le paiement des contributions
  • Un outil déclaratif unique, ici la DSN (Déclaration Sociale Nominative) pour simplifier les démarches
  • La périodicité, qui pourra être mensuelle (pour le CPF, le CPF-CDD et la taxe d’apprentissage principale) ou annuelle (pour le solde de la taxe d’apprentissage et la contribution supplémentaire à l’apprentissage)

Dans le courant de l’année 2022, l’URSSAF ou la MSA sera en charge de la collecte de plusieurs autres données. Parmi elles, nous retrouvons la contribution à la formation professionnelle (ou CPF), la contribution au compte personnel de formation pour les titulaires de CDD (ou CPF-CDD) ainsi que la taxe d’apprentissage (ici, la part principale).

Dès 2023 s’ajouteront à ces collectes celles de la contribution supplémentaire à l’apprentissage (la CSA) ainsi que le solde de la taxe d’apprentissage.

2-Des délais à respecter

Afin d’assurer la bonne mise en place de ce nouveau système, un calendrier concernant le versement des contributions est disponible. Débutant dès le mois de février 2022 et s’étendant jusqu’en 2024, il s’organise de la manière suivante.

A partir de février prochain, les employeurs devront déclarer et régler chaque mois la CPF, la contribution au CPF-CDD ainsi que la part principale de la taxe d’apprentissage. En déclaration sociale nominative, ces dernières se feront selon les mêmes modalités que l’ensemble des cotisations sociales.

Dès avril 2023, les employeurs d’une structure d’au moins 250 salariés auront à déclarer en DSN et régler annuellement la CSA due au titre de la masse salariale de 2022. Dans la même année mais cette fois en mai viendra l’heure de déclarer et régler le solde de la taxe d’apprentissage. Due au titre de la masse salariale de 2022, ce règlement s’effectuera annuellement.

3-Et pour la suite ?

Enfin, selon France Compétences, à partir du 1er janvier 2024, un autre changement s’opère. Il concerne cette fois le recouvrement des contributions conventionnelles de formation professionnelle et de dialogue social. En effet, celui-ci pourra être transféré aux URSSAF et à la MSA, sur choix des branches professionnelles concernées.

Pour ce qui est des contributions conventionnelles de formation professionnelle, France Compétences assurera leur bonne réception. Par la suite, cet organisme se chargera de les affecter aux branches concernées. L’Association de Gestion du Fond Paritaire National (AGFPN), quant à elle, récupérera les contributions relatives au dialogue social. Cette dernière aura ainsi pour mission de les redistribuer aux organisations de salariés et d’employeurs attributaires concernés.

Avant que toutes ces modifications et nouveautés ne se mettent en place, les employeurs seront guidés dès septembre 2021. Effectivement, les entreprises disposeront d’un dispositif d’accompagnement afin qu’elles intègrent les différents changements et échéances à respecter.

Pour en savoir plus sur toutes ces informations et répondre à vos potentielles questions, France Compétences a publié un communiqué regroupant toutes les modalités et conditions sur le sujet.


Sources :

comment motiver apprenants

Comment motiver vos apprenants à la rentrée ?

Septembre est synonyme de rentrée, de nouveauté et surtout de regain d’énergie. Après la saison estivale, il est important de plonger vos apprenants dans un cadre vivant et dynamique pour démarrer l’année sur le bon pied. Suite aux difficultés rencontrées les deux années précédentes, il est plus que jamais d’usage de créer du lien et fournir de la motivation aux étudiants.

Entre business gamesjournées d’intégration ou encore teambuiding, découvrez nos meilleurs tips pour bien commencer cette nouvelle année et motiver vos apprenants !

Comment motiver les apprenants

Comment commencer cet article sans vous parler des business games de rentrée ? Formateursprofessionnalisants, amusants et interactifs, les business games ont l’avantage de créer du lien dès les premiers instants.

En équipes, vos apprenants sont lancés sur un sujet préalablement sélectionné par vos soins et vont devoir évoluer dans un domaine professionnel afin d’obtenir les meilleurs résultats possibles. Ils vont alors devoir analyser, communiquer, échanger, faire des erreurs, réessayer, s’améliorer, progresser et partager. Dans un cadre sécurisé et en lien avec leur domaine de formation, ils vont se découvrir les uns les autres et créer des liens qu’ils renforceront tout au long de l’année. Quoi de mieux pour se motiver à entamer une nouvelle année ?

Chez Sciado Partenaires, nous proposons plusieurs business games qui peuvent être ajustés selon vos souhaits et objectifs pédagogiques. Deux d’entre eux sont par ailleurs directement basés sur l’intégration des apprenants et conviennent donc parfaitement à un contexte de rentrée scolaire. Découvrez-les dès maintenant !

Les journées d’intégration pour motiver vos apprenants

Dans un autre registre mais toujours en lien avec l’intégration des apprenants et la création de lien viennent les journées d’intégration. Pouvant s’étendre sur quelques heures ou plusieurs jours, elles ont le mérite de permettre aux étudiants de se rencontrer, de communiquer et de partager des moments conviviaux et forts.

Jeux en extérieur, journées à thème, soirées d’intégration, moments d’échanges, présentation des anciens étudiants et système de parrainage sont alors de mise. Pour cela, vous pouvez vous appuyer sur le Bureau des Étudiants de l’école, qui ne manquera pas d’idées pour accueillir au mieux les nouveaux arrivants ! Une fois qu’ils seront à l’aise dans leur lieu de travail, motiver vos apprenants semblera bien plus simple !

L’importance du teambuilding

Vient par la suite l’importance à accorder au teambuilding. Ce n’est désormais plus un secret pour personne, le teambuilding est un outil essentiel pour la motivation des étudiants.

En effet, la cohésion d’équipe – et donc ici de classe – est indispensable pour créer un climat de travail sain et stimulant. Offrir à vos apprenants l’opportunité de se connaître les uns les autres et de découvrir les qualités et compétences est un véritable plus. Cela leur permettra non seulement d’exploiter au mieux leurs ressources lors de travaux de groupes mais aussi de s’entraider mutuellement et de travailler sur leurs lacunes.

Pour cela, il peut être intéressant de proposer des activités de teambuilding – et ce dès le début de l’année – de façon ponctuelle. Pour cela, nul besoin de sortir du cadre scolaire, vous pouvez totalement créer un jeu autour de votre école et/ou des thématiques abordées lors de la formation. Vous pouvez alors envisager : escape gamesquizzjeux de rôles ou serious games.

Si est possible que vous souhaitiez mettre en place un jeu pour vos apprenants mais que vous ayez des hésitations. Pour y remédier, nous pouvons vous proposer des serious games qui répondront à vos attentes. Jetez-y un coup d’œil !

Instaurer une ambiance positive

Enfin, il est bien sûr indispensable de créer et d’entretenir une ambiance de travail positive. Vos apprenants doivent se sentir, dès le départ, écoutés, compris et appréciés à leur juste valeur. Il leur sera ainsi plus simple de se plonger dans vos cours et de progresser !

L’énergie doit ainsi être positive et mutuelle et, pour cela, il est important qu’elle se fasse ressentir dès le départ et soit maintenue même dans les périodes plus difficiles. Vous avez désormais toutes les clés en main pour motiver vos apprenants !

Cette liste non-exhaustive constitue un point de départ pour commencer l’année sur des bases saines et motivantes, à la fois pour vous et pour vos apprenants. N’hésitez pas à nous partager vos conseils et astuces qui ont déjà fait leurs preuves !

Centralesupélec

Sciado en intervention à CentraleSupélec

Dans cet extrait de BFM Business, Romain Soubeyran, directeur général de CentraleSupélec, donne une interview sur la formation des ingénieurs de l’école. Dans ce même extrait, vous pouvez apercevoir Laurent Lavogiez, notre responsable pédagogique et formateur, animant un business game. En effet, nos formateurs sont récemment intervenus auprès de cette école lors d’une formation de quelques jours. Réalisé sur un simulateur utilisé depuis des années par l’école, ce business game réunit près de 500 élèves ingénieurs de niveau M1 chaque année. Retour sur cette expérience via une interview de Laurent.

L’organisation autour du Business Game

CentraleSupélec forme des ingénieurs de haut niveau, étant classée à la seconde place nationale. Il s’agit d’une école généraliste avec cependant une composante “électricité et électronique”, apportée par Supélec.

Dans le cas de ce Business Game, Laurent explique que la formation s’étend sur quatre jours, dans les locaux de Gif-sur-Yvette. L’enjeu tourne alors autour du caractère particulièrement complet de ce business game. Généraliste, il explore toutes les dimensions de l’entreprise. Ainsi, les étudiants abordent des notions de marketing, de gestion, de production, de recherche et développement, etc. Laurent ajoute qu’il s’agit d’une expérience “forte et marquante” pour les apprenants, bien souvent emballés par le projet.

L’originalité du dispositif consiste à intégrer des psychosociologues en charge de l’observation des étudiants au travail, et à même de leur apporter des outils leur permettant d’améliorer leur capacité à travailler en équipes.

La relation entre Sciado Partenaires et CentraleSupélec

Bien qu’il s’agissait ici de la première intervention de Sciado Partenaires auprès de CentraleSupélec, la collaboration entre ces deux organismes est bien plus ancienne. En  effet, Jean-Baptiste Sériziat, président de Sciado, avait déjà travaillé avec eux quelques années plus tôt. De la même façon, Être En Jeu, qui a fusionné avec Sciado, avance sur des projets avec l’école depuis une quinzaine d’années.

Il s’agit donc d’une collaboration qui fonctionne bien, établie sur une relation de confiance depuis plusieurs années. Par conséquent, de nombreuses autres formations sont prévues chaque année entre Sciado Partenaires et CentraleSupélec, et ce même jusqu’à Pékin si la situation sanitaire le permet !

En plus d’être efficace sur le papier, cette collaboration l’est tout autant sur le plan humain. Comme le dit Laurent lui-même, “c’est une expérience d’enseignement particulièrement riche et intense, où l’on rencontre beaucoup de monde”. Pour les apprenants, le retour est également on ne peut plus positif. Des records de taux de satisfaction ont été atteints pour cette session, allant parfois jusqu’à 100% !

Un petit mot pour conclure ?

Thomas, notre formateur et animateur de formation, était à Metz pour sa première en octobre dernier. Cette année il va vivre la session principale à Gif-sur-Yvette. C’est une belle histoire qui se poursuit !

Astuces-période-estivale

Quelques astuces pour mettre à profit la période estivale

Qui dit période estivale dit souvent congés pour les étudiants et période de calme pour les formateurs. Calme relatif bien entendu, mais moins d’intervention c’est aussi le moment de se poser sur un ilot ressemblant un peu à un bureau pour faire l’inventaire de ce qu’il reste de l’année.

Pour ma part, cette période où le calme plat n’est pas non plus annoncé mais où se profile la possibilité de revoir les ressources construites tout au long pour toutes sortes d’occasions, pédagogiques bien sûr, m’apparaît pleine de possibilités.

Déjà, faisons le point sur les outils découverts et employés. Ensuite, sur ce que nous avons pu construire : est-ce suffisant, trop poussé, pas assez ?

C’est le moment de laisser la mémoire refaire surface et les bulles de remarques éclater pour en saupoudrer les contenus déjà créés.  

Astuces : Mise à profit de la période estivale

Concrètement, tout au long de l’année, suite aux demandes, aux occasions non manquées, nous avons pu créer. Qu’il s’agisse de cours à proprement parler, ou d’événements comme des temps autour de thématiques, pour réunir, non pas autour d’un feu de camp mais de notions très concrètes et ayant besoin de support, nous avons produit.

La relecture est à présent de mise car souvent des coquilles se glissent.

Alors, bien sûr, quand on créé on sait que se relire est la clé, mais immergé, on fait souvent un contenu en apnée : d’une seule traite. Et dans ce cas, on ne perçoit pas que c’est peut-être un peu trop abstrait, voire abyssal. En revanche, le temps aidant, on a discuté, on a écouté, on a entendu aussi, par tous les canaux possibles, et il est temps de voir si ce qui a été produit correspond toujours.

En effet : 

 Certaines données ne sont peut-être plus de mise, plus à jour : des données chiffrées, des faits d’actualité… ou alors d’autres sont peut-être plus récentes et plus parlantes

 Notre passoir de relecture était un peu fatiguée et des coquilles, sont encore en évidence ce qui est dommage car un chiffre saugrenu, une erreur d’orthographe peuvent entrainer une mécompréhension ou laisser filtrer le doute malgré nous.

⇒  Tout au long de la période au contact avec les apprenant on a pu entendre, voir, percevoir que peut-être un point n’était pas si simple que cela…

Et justement, comment créer du contenu adapté ?

La question s’est posée et se pose bien sûr.

Alors, en y réfléchissant on a pu défricher et tracer des pistes : dans l’équipe les idées fusent, les recherches ont fait ployer les antennes des routeurs cachées dans les cocotiers et des fois on ne sait plus comment ne pas dépasser la capacité d’attention et faire entrer tout ce que nous aimerions, voire bien graver toutes les idées qui nous paraissent géniales sur la carte neuronales des apprenants que nous accompagnons.

Or, la question est de choisir les informations, et comment faire alors ?

Nous avons testé et voici donc ce que nous pouvons retenir : 

⇒ Il est intéressant de prendre d’un côté le contenu créé par l’/les expert/s, qui formalise, note tout ce qui lui vient et ce qui lui semble important, et de l’autre côté, le point de vue d’une personne novice (moins connaisseur du moins). 

Alors, quand on n’est pas un novice soit même, se mettre dans la peau d’un apprenant type. Et dans ce cas, pourquoi ne pas imaginer celui qui prendra du temps à comprendre et qui aura besoin de concret et de progressivité et, à l’autre extrémité, l’apprenant qui aura déjà des bases plus solides et voudra aller (beaucoup plus loin).

En faisant cela, on peut trouver l’intermédiaire, ou alors…

On peut créer un hybride !

⇒ Avec certains outils il est possible de faire apparaître des info bulles, au bon vouloir de l’utilisateur. Cela peut être assez utile pour l’apprenant car il aura un élément pour aller plus loin dans la notion : une définition, une date, des chiffres clés, un visuel…

Il est tout a fait possible d’avoir une explication détaillée et progressive, car la simplicité ne fait quoi qu’il en soit de mal à personne, et on est tout de même limité par une thématique ou un niveau affiché à l’entrée.

Et, après cette explication s’adressant à des apprenants plus novices que d’autres, avoir un format différent, type vidéo ou quiz, ou fiche « Pour aller plus loin ». Ces formats permettent d’ajouter ce que l’on aurait souhaité transmettre et qui nous semble important.

Car il ne faut pas oublier qu’aux yeux du connaisseur tout est important.

Le regard du « moins expert » prend alors tout son sens, le recul en somme, pour avoir une vision d’ensemble.

Quelques techniques et outils à porté de main

Car souvent, on se plonge dans des faits, on remonte le temps, ou les idées, et en perd un peu, comme le petit poucet avec ses miettes, le point de départ. Alors que le concret, le cailloux qui rentrera dans la chaussure et qui peut servir de fil d’ariane, lui aura plus de chance de nous emmener quelque part et de nous titiller en plus de nous marquer (attention aux bleus ?)

Il faut essayer de faire le lien avec du concret donc : se poser la question de l’erreur fréquente (notion d’« erreur pertinente ») et de ses causes pour l’éviter mais surtout susciter l’intérêt. 

Nous pourrions également parler du ton à employer, du nombre d’informations à mettre dans une slide.

Mais finalement, le plus important est que l’on peut imbriquer les informations, les données à traiter librement, selon l’intérêt, et pousser l’apprenant à revenir dessus avec des quiz, des challenges, des évaluations ou auto évaluations.

Il est possible par exemple d’insérer des lien de fichier (à télécharger) dans des vidéos. D’entrecouper ces mêmes vidéos de quiz, ou d’interactions. D’insérer des vidéos dans des présentations, ou des audios.

Car le mélange des supports est propice à lever la chappe de l’ennui mais aussi à réimprimer l’information si on la trouve via plusieurs biais : un visuel (sobre, un glyphe par exemple) accompagnant un propos important, des sous-titre dans une vidéo, pour une meilleure accessibilité et une utilisation dans toutes les conditions (ou presque).

Enfin, voici une liste des outils que nous utilisons pour créer et mettre à jour nos supports :

  • Vidéo : Youtube, Vimeo
  • Sous titrage : Capté, Kapwing, Amara
  • Edition vidéo : Camtasia, Adobe Premiere pro, Openshot
  • Audio : Audacity
  • Présentation interactives : Power Point, Genial.ly ou encore Articulate Storyline

Et vous, profitez-vous de l’été pour mettre à jour vos cours ? 

N’hésitez pas à nous partager vos astuces et outils de travail ?

Simulateur-startero

Un simulateur… quatre expériences de jeu très différentes

Vous connaissez forcément Startero, notre simulateur dédié à l’entrepreneuriat, et digne successeur de FitCo. L’outil, centré sur la création d’activité et la montée en compétence en comptabilité/gestion, est largement utilisé en enseignement supérieur. Depuis peu, nous l’utilisons également auprès des particuliers par notre offre CPF.

Retrouvez ici notre offre de formation éligible CPF.

Jusqu’à présent, vous participiez à Startero en prenant le rôle d’Antoine, ami et associé de Tess, embarqué dans l’aventure de la création d’entreprise sur une activité de coaching sportif. La prochaine version du simulateur vous transportera fin 2021 vers de nouveaux horizons.

Startero, un simulateur… quatre expériences de jeu très différentes !

Nous avons en effet repensé le simulateur dans son ensemble, dans le but de faire évoluer le joueur dans des environnements différents.

Au total, 4 scénarios ont vu le jour :

Bricolage : un modèle plus simple pour s’initier

Vous incarnez un entrepreneur qui se lance dans une activité de service à la personne : le bricolage à domicile. Le scénario aborde progressivement les problématiques du marketing et la dimension comptable de la gestion d’entreprise.

Fitness : le classique de SCIADO

Vous pilotez une entreprise de service sportif en développement : l’entreprise s’implantera dans un local pour proposer de nouveaux services et même la vente de produits énergétiques.

Le cas Fitness aborde de manière équilibrée l’ensemble des dimensions de la gestion d’entreprise, de la création jusqu’à la croissance et la diversification, en traitant plus profondément des logiques économiques et financières.  

Retail : la vente à distance et la gestion d’un magasin

Vous êtes ici à la tête d’une activité e-commerce et d’une boutique physique, avec la focalisation sur les problématiques du secteur (gestion des stocks, panier moyen, …).

Le retail n’aura plus de secret pour vous !

Restaurant : le modèle adapté à la restauration

Lancez-vous en ouvrant votre propre restaurant. Vous devrez franchir une à une les étapes pour développer votre affaire de restauration.

Le scénario permet une immersion dans les problématiques du métier, et en particulier la dimension RH.

Flexibilité et immersion

Créer un nouveau scénario ne correspond pas pour nous à simplement modifier les paramètres du jeu. Il s’agit en plus d’une réflexion plus profonde, visant à adapter l’outil à son public.

En effet, la démarche suit une logique de flexibilisation. Nous sommes désormais capables de proposer plusieurs niveaux de difficulté, caractérisés par :

  • Une timeline plus ou moins progressive (apparition des nouveaux éléments, décisions ou résultats)
  • Une complexité marketing adaptée (nombre de services ou de produits différents commercialisés par l’entreprise)
  • Une difficulté situationnelle (niveau de compétence à démontrer pour répondre à l’objectif)

Notre expérience grandissante en formation professionnelle nous incite à rendre les outils de simulation plus immersifs, et plus proches du besoin de nos clients. Par exemple, l’apprenant souhaitant ouvrir sa boutique suivra le parcours « Retail », l’auto-entrepreneur débutant le parcours « Bricolage », …

Tout l’intérêt des solutions est qu’elles sont vouées à parler le même langage que dans la réalité. Ainsi, les décisions, et surtout les indicateurs suivis sont adaptés au secteur d’activité modélisé, dans l’esprit des outils SCIADO actuels.

Et la suite ?

D’autres projets sont en cours de conception, comme un modèle dédié au B to B dans le domaine du conseil. 

Il reste encore quelques mois de développement pour que les solutions soient opérationnelles, mais le potentiel de déploiement est immense, ce qui nous rend optimistes et impatients de vous en dire plus !

éducation-vacances

L’éducation pendant l’été : prend-elle aussi des vacances ?

Les vacances approchent et la question “que font les écoles, organismes de formation et formateurs cet été ?” devient prégnante. 

Oui, les apprenants sont partis, les cours sont terminés et l’impression nette et claire est que tout le système éducatif se repose également et ferme les portes pour des vacances. Eh bien, c’est faux. Ou tout du moins en partie faux. 

Beaucoup d’acteurs de l’éducation profitent justement de ce moment pour faire ce qu’ils ne peuvent pas faire lors de l’année scolaire. 

Vous, en tant que formateur, enseignant ou responsable pédagogique, combien de temps avez-vous eu à disposition pendant l’année scolaire pour préparer vos cours ? Pas beaucoup, n’est-ce pas, en sachant qu’il faut aussi enseigner et passer du temps avec vos apprenants ?  

A vrai dire, l’été est le moment idéal pour s’occuper de tout ce que nous ne pouvons faire le reste du temps, quand nous sommes trop occupés avec la vie éducative.

Que font les acteurs de l’éducation pendant les vacances ? 

  • Préparer la rentrée

En septembre, nous apprécions tous de retourner en cours et que tout soit d’ores et déjà prêt. Mais n’oublions pas justement que tout est prêt car quelqu’un a travaillé les mois d’avant. Les objectifs pédagogiques, les programmes scolaires et universitaires, les inscriptions et prises en charge des dossiers de nouveaux arrivants. Les écoles, universités et institutions d’enseignement préparent en plus les horaires, les groupes, les cursus. Elles traitent aussi les interventions futures avec tous les professionnels externes afin qu’elles se déroulent correctement. 

Côté enseignants, formateurs et organismes de formation, il n’y a pas que des vacances non plus. Ainsi, ils doivent préparer les cours, les présentations et les méthodes pédagogiques qu’ils mettront en place. 

L’intégration des objectifs pédagogiques dans leurs formations est la plus importante. Par conséquent, un lien fort avec l’établissement d’enseignement où ils interviennent doit être maintenu. 

  • Mise à jour de cours et supports pédagogiques

L’été est le moment propice également pour une remise à jour des cours que l’on enseigne. Normalement, les supports pédagogiques existent déjà, mais ils doivent toujours être actualisés afin de répondre aux exigences des apprenants, de leur niveau et besoins. 

En plus, les formateurs peuvent préparer de nouveaux outils pédagogiques. Vidéos pédagogiques, quizz ou exercices, plusieurs moyens sont possibles pour apporter de la diversité dans leurs formations. 

Tous ces éléments peuvent ensuite être intégrés sur des plateformes pédagogiques en ligne de type Moodle, si tel est le cas. 

  • Intégrer des nouveaux outils

Nous parlons depuis des années de l’innovation pédagogique et de la digitalisation de la formation. 

Que ce soit un jeu, un business game, un serious game, du digital learning, nous ne pouvons pas les intégrer dans le parcours de formation en pleine année scolaire. Mais plutôt, vous avez deviné, en plein été ou même bien avant. 

C’est le moment calme pendant lequel les écoles, formateurs et organismes de formation décident quoi et comment intégrer pour motiver et impliquer davantage les apprenants. 

Vous avez surement entendu parler des business game de rentrée, des séminaires nationaux, des challenges simultanés sur plusieurs campus… Toutes ces activités sont préparées minutieusement avant que les apprenants reprennent les cours. 

De plus, avec maintenant le défi du distanciel, le champ des outils est plus large : des plateformes de classe virtuelle et de visioconférence, mise en place des protocoles internes concernant l’apprentissage hybride ou blended-learning, préparation des cours disponibles sur smartphone ou tablette, etc.

Nous ne sommes pas en train de dire que les acteurs de l’éducation travaillent sans vacances tout l’été. Au contraire, tout le monde doit bénéficier de repos et de moments calmes pour pouvoir démarrer ensuite de manière plus motivante. Cependant, l’éducation en elle même ne peut jamais prendre de vraies vacances.

Elle doit toujours se remettre en question, s’adapter aux nouvelles technologies et méthodes, devenir plus attirante pour les apprenants. C’est comme un cercle toujours en mouvement, comme une boîte de connaissances que nous devons tous alimenter tout au long de la vie, pour pouvoir tous en bénéficier.

Et vous, qu’allez vous faire cet été ? 

Réforme-BUT

Les simulateurs pour répondre aux nouvelles SAE

Réforme des BUT : comment les simulateurs pédagogiques peuvent-ils faciliter les exigences des SAE ?

Dès septembre 2021, la réforme des BUT s’applique. Par conséquent, les DUT se transforment et deviennent des BUT. Passant d’une formation sur deux ans à un programme s’étalant sur trois années, les modifications sont conséquentes et ne doivent pas être laissées pour compte. La principale d’entre elles ? Les exigences des SAE. Explications.

Réforme des BUT et SAE

La réforme des BUT entraîne avec elle des changements dans les programmes et les Situations d’Apprentissage et d’Évaluation, aussi connues sous le nom de SAE. Ces dernières, nécessaires pour que les étudiants valident leurs semestres, nécessitent d’être basées sur des cas pratiques et des mises en situation concrètes. Référentiel de compétencesvalidation des acquis, les problématiques et enjeux autour de ce remaniement sont nombreux.

Pour répondre à ces nouvelles demandes et offrir à vos apprenants les meilleures conditions d’apprentissage, il semble opportun de s’intéresser aux simulations pédagogiques. Innovants, ludiques, formateurs et par-dessus tout professionnalisants, nos simulateurs ont l’avantage de traiter de nombreux sujets. Ainsi, il vous sera possible de former vos apprenants au marketing digital, au commerce international, à la gestion de projet, à l’entrepreneuriat ou encore à de nombreux autres thèmes. Dynamiques et axés sur la notion de challenge, les simulateurs pédagogiques signés Sciado Partenaires offrent à vos apprenants la chance de se glisser dans la peau de véritables professionnels du secteur.

Comprendre et anticiper les changements

Afin de comprendre au mieux les enjeux autour de ces changements et de préparer la rentrée qui arrive dans les meilleures conditions possibles, vous pouvez télécharger notre livre blanc. Accessible gratuitement, il regroupe tout ce que vous devez savoir !

Les thématiques abordées sont les suivantes :

  • Les SAE : pour qui, pour quoi, comment, quand ?
  • L’approche par le développement des compétences
  • La pédagogie par le jeu
  • Les simulateurs pédagogiques et la reproduction de l’univers professionnel
  • Témoignages de responsables pédagogiques

Téléchargez-le dès maintenant !

Dynamiser-vos-formations

Dix conseils pour dynamiser vos formations

Innover pour intéresser et motiver ses apprenants peut être une véritable épreuve. Aujourd’hui, les possibilités et techniques existantes dans le milieu de l’éducation sont nombreuses. Par conséquent, vos apprenants ont probablement déjà été confrontés à diverses pratiques pédagogiques. Mais alors, comment continuer de les intéresser ? Quelles méthodes mettre en place pour susciter leur intérêt ? Comment favoriser leur engagement ? Pour répondre à ces questionnements, découvrez ici nos dix conseils pour dynamiser vos formations !

1-Créer un parcours plus interactif

Afin d’intéresser vos apprenants, il est nécessaire de vous concentrer dans un premier temps sur la connaissance de votre public. Vous vous devez de connaître vos apprenants ainsi que leur niveau de compétences et de compétences. Cela vous permettra d’avoir en main toutes les cartes pour construire un parcours adapté et qui correspond à leurs besoins.

2-Intégrer un jeu dans la formation

Contrairement à certaines idées reçues, le jeu n’est pas exclusivement une activité de loisir ou une activité ludique. En effet, il s’agit d’un élément très important dans l’apprentissage autrement. S’agissant d’un système familier à tous les apprenants, il leur permet de s’immiscer pleinement dans la formation. Engagement, participation et intérêt pour les points présentés seront alors de mise, car vos apprenants seront entraînés dans l’engouement général autour de la situation. Par conséquent, l’ajout d’un jeu dans votre formation ne peut que les motiver à s’impliquer !

3-Adapter le jeu aux objectifs et aux apprenants

L’ajout d’un jeu dans une formation ne se fait cependant pas au hasard. En effet, il se doit d’être adapté à vos objectifs pédagogiques ainsi qu’à vos apprenants. Dès le début, vos objectifs doivent être déterminés et exprimés afin de s’assurer qu’ils correspondent à vos attentes. De la même façon, la formation en elle-même doit bien sûr être en accord avec ces enjeux et objectifs pédagogiques.

De plus, le jeu et la formation doivent aussi être adaptés à vos apprenants. Il faut ainsi prendre en compte leur niveau de compétences, leurs qualifications ainsi que leurs connaissances pour pouvoir établir le type de jeu le plus adéquat, d’où la nécessité de bien connaître vos apprenants.

4-Être explicite sur les objectifs et règles du jeu

En plus de les déterminer, il vous sera nécessaire de faire part de vos objectifs à vos apprenants. Dès le début de la session, il faudra prendre le temps de les expliquer correctement. Le but est que vos apprenants les comprennent, qu’ils soient plus investis tout au long de la formation et qu’ils développent l’ambition de les atteindre.

De la même façon, il est indispensable d’exposer clairement les règles du jeu dès le départ. Pour s’assurer de la bonne compréhension des consignes, il peut être opportun de demander aux apprenants eux-mêmes d’en faire un récapitulatif. Cette étape ne doit pas être négligée, car des apprenants demeurant dans l’incompréhension ne seront pas motivés, risqueront d’être dissipés et ne feront que le minimum nécessaire.

5-Utiliser les avantages du numérique

Aujourd’hui, nous avons la chance de disposer de plusieurs types d’outils numériques. S’agissant de dispositifs familiers pour les apprenants, il peut s’avérer opportun d’y recourir dans vos formations. Que cela soit par le biais de tablettes, d’ordinateurs ou de téléphones, nombreuses sont les possibilités digitales. Quizz en lignes, travaux pratiques, études de cas et exercices créatifs ne sont que des exemples parmi la multitude d’options qu’offrent les outils numériques.

Le numérique ne se limite pas à ces avantages-là, car il permet aussi de mettre en place différents types d’animation. En effet, les mois précédents ont, par la force des choses, mis en avant le distanciel dans une part importante des formations et cours. Désormais, bien que la tendance soit à un retour progressif au présentiel, il est essentiel d’intégrer des fonctionnalités permettant le distanciel. Effectivement, certains individus se sont aperçus qu’ils préféraient conserver le principe de travail à distance quel que soit le contexte sanitaire. Dorénavant, il est donc d’usage de proposer des modalités incluant les deux formats, ce que proposent des animations basées sur des modèles hybrides ou en blended-learning.

Ces pratiques ne se limitent pas à la présence physique ou non en classe mais passent également par le numérique. Sélection des outils de visioconférencesplateformes numériques, organisation des classes virtuelles, etc. Le distanciel demande une certaine organisation ainsi qu’un suivi régulier, des enjeux auxquels les outils numériques permettent de répondre sans peine.

6-Adapter le niveau de jeu et de la formation

Lors de votre formation, il est important de veiller à ce que les contenus et le programme soient adaptés à vos apprenants et à leur niveau. En prêtant attention à leur avancée dans le jeu et dans la formation, vous pourrez déterminer leur niveau et les difficultés qu’ils pourront rencontrer. Ainsi, vous aurez la possibilité de réajuster votre programmation ou vos règles et de personnaliser vos contenus selon vos apprenants afin de pouvoir suivre leur niveau et les intéresser du début à la fin.

7-Ne pas négliger le feed-back

Le feed-back est un élément indispensable dans une formation. Pourtant, celui-ci est bien souvent négligé ou retardé. Lors d’une formation – et encore plus s’il s’agit d’une formation courte – il est important de proposer à vos apprenants un feed-back immédiat. A titre d’exemple, un retour survenant deux semaines après une formation d’une journée est bien trop tardif, car les apprenants auront entre temps oublié la moitié du travail effectué lors de la formation et ne seront pas en mesure d’identifier les points à retravailler.

Par conséquent, il est opportun d’avoir un lien constant avec les apprenants. Celui-ci peut alors être formel, par le biais de quizz par exemple, ou informel, via de simples discussions entre formateur(s) et apprenants. Une absence de feed-back va pousser les apprenants à sortir du cadre et risque de les démotiver pour les travaux suivants.

8-Responsabiliser l’apprenant

Tout au long de la formation, il est nécessaire de mettre l’apprenant en face de ses responsabilités. L’enjeu est de le rendre autonome et de le pousser à être un acteur actif de sa formation. En effet, ce n’est plus simplement au formateur d’imposer ses idées et sa façon d’apprendre. Désormais, l’apprenant doit contribuer à sa formation et à son apprentissage en s’investissant pleinement, en participant et en prenant des initiatives.

Pour cela, le formateur doit prendre le temps de leur donner la parole, les laisser faire un peu plus. Il peut aussi écouter leurs propositions pour sortir de ce format traditionnel dans lequel le formateur a tendance à s’imposer.

9-Recourir à des systèmes de challenges

Afin de motiver davantage les apprenants et de favoriser leur implication dans la formation, la mise en place de challenges est l’une des solutions les plus pertinentes. La notion de classement et de compétition est facteur de motivation et d’investissement personnel, et ce d’autant plus s’il y a des systèmes de badges et/ou de récompenses à la fin.

La compétition motive grandement les apprenants, de même que les encouragements, la reconnaissance et la gratification, souvent nécessaires pour évoluer. L’idée d’avoir un classement et de savoir qu’ils peuvent en être à la tête va ainsi les pousser à donner le meilleur d’eux-mêmes.

10-Les faire travailler en équipe

Il peut arriver que certains apprenants soient plus réticents à l’idée de se lancer dans une compétition. A cela, nous répondons que ce problème se voit fortement réduit si le travail est effectué en équipe. Les travaux de groupe permettent le rassemblement des compétences, l’alliance des forces individuelles et la solidarité entre les membres, qui vont se motiver les uns les autres. Bien différente que lors des travaux individuels, la motivation est ici démultipliée !

De nombreuses autre astuces peuvent encore être ajoutées à cette liste d’idées, n’hésitez pas à nous en faire part !


Sources :

Validation-de-compétences

La validation de compétences par simulateurs

Dans la grande majorité des établissements de l’enseignement supérieur, les compétences sont validées en fin d’année, par le biais de partiels. Écrits et oraux sont alors au programme durant quelques jours, constamment à l’origine d’une source importante de stress pour les étudiants. Bien que traditionnel, ce fonctionnement connaît quelques failles que vient couvrir la validation de compétences par simulateurs.

1-L’évaluation et l’étude de cas par le biais de la simulation

Les simulateurs Sciado

Les simulateurs Sciado peuvent, depuis leur création, être utilisés dans plusieurs contextes. Journées portes ouvertes, formations, Business Games mais aussi évaluations. Pour ce dernier point, nous pouvons recourir à un format tout particulier : les études de cas – ou licence certificate. Utilisées pour valider les acquis de vos étudiants, les études de cas digitalisées viennent remplacer ou compléter les partiels. Mettant en scène des situations professionnalisantes, les simulateurs évaluent le niveau de compétences des apprenants en fonction d’un référentiel préalablement défini. 

La quasi-totalité des simulateurs Sciado permettent d’avoir recours à ces études de cas, chaque simulateur s’adaptant à certains blocs de compétences. Par exemple :

  • Digithero propose des formats axés sur le marketing digital ou le contrôle de gestion en environnement marketing digital.
  • Startero s’oriente plutôt sur la finance et la stratégie d’entreprise
  • Huméo, quant à lui, s’attarde sur les ressources humaines. Il propose des scénarios impliquant la prise de fonction en tant que responsable RH et nécessitant de gérer un à deux sites.
  • Les thèmes abordés sont encore nombreux, découvrez tous nos simulateurs !

2-Le format Licence Certificate au sein de Sciado Partenaires

L’étude de cas pour une expérience immersive

L’avantage principal de l’étude de cas réside dans sa similarité avec le monde du travail. En effet, les étudiants jouent le rôle de professionnels tout au long de l’évaluation. Cela apporte un point de vue innovant, professionnalisant et particulièrement engageant à la différence des évaluations théoriques.

Les avantages de l’étude de cas

  • La familiarisation en amont avec l’outil

Chez Sciado Partenaires, nous proposons à vos étudiants de se familiariser avec l’outil avant de passer à l’étude de cas – et donc à l’évaluation. En effet, il est nécessaire que vos apprenants aient déjà eu un premier contact avec notre simulateur et soient en mesure de le maîtriser dans un contexte moins stressant que celui d’une évaluation. Pour cela, les formats licence certificate comprennent un business game, qui permettra à vos étudiants de se préparer dans les meilleures conditions possibles.

  • Un seul sujet dynamique

Les études de cas sur papier proposent souvent plusieurs sujets. Ici, à contrario, il s’agit d’un seul sujet avec un scénario de départ. Celui-ci évolue avec le temps en fonction des décisions prises par l’étudiant. 

Cela permet également de limiter les risques de triche. En effet, le simulateur réagit de manière unique aux décisions prises par les apprenants. Ces dernières étant quasi infinies, elles amènent avec elles une infinité de résultats.

Par conséquent, une décision dans un simulateur n’est ni bonne, ni mauvaise. Elle sera toujours bonne dans un contexte donné, ce contexte étant relatif à toutes les décisions prises précédemment.

  • Correction plus rapide

La licence certificate est également avantageuse pour les formateurs, car le temps de correction est grandement raccourci. En effet, le simulateur définit directement les notes attribuées en se basant sur des objectifs à atteindre, définis par l’équipe pédagogique. Ainsi, le système de notation est à la fois en accord avec l’école mais aussi avec le référentiel. De plus, il est possible d’ajouter bonus et malus selon les volontés pédagogiques.

Si vous souhaitez ajouter un angle moins technique à vos évaluations, vous pouvez également coupler le simulateur à des quizz ou évaluations théoriques. En fixant par exemple 70% de la note sur l’atteinte d’objectif et 30% sur les quizz. Vous obtiendrez alors des notations sur divers aspects de la formation. Les quizz, présents dans le simulateur, demandent aux étudiants de respecter des deadlines, tout comme les décisions à prendre. Par conséquent, il n’y aura pas de potentiel retard dans les rendus ni dans la notation, générée automatiquement. Bien entendu, la simulation est sous total contrôle de l’évaluateur.

  • Notation plus juste

Enfin, l’un des atouts majeurs des études de cas réside dans l’uniformité de la qualité de l’évaluation. Dans les évaluations classiques, les notes doivent être harmonisées pour répondre à des grilles et ne pas être influencées par le correcteur. Ici, la correction est informatique. Autrement dit, en plus de gagner en efficacité, une correction automatique permet d’obtenir des notes harmonisées et cohérentes dès le départ.

Si vous êtes intéressés par notre format licence certificate ou si vous êtes tout simplement curieux d’en savoir plus, n’hésitez pas à nous contacter ou prendre rendez-vous avec nous !